Samedi 2 août 6 02 /08 /Août 11:05

Isa-Belle - (Avatar) 

 

 Ma seconde fellation


Toute cette semaine passa très vite. Pas une journée sans que je ne pense plusieurs fois à mon aventure du bord de l'étang.
Ce n'est que le mercredi soir que je pris la décision d'y retourner. Excitée par cette perspective, je passais une nuit un peu agitée.
Le jeudi après-midi arriva enfin. Vers treize heure trente, je prenais le chemin de l'étang avec ma bicyclette. Comme d'habitude, je laissais mon vélo au centre hyppique. Je préférais faire les deux kilomètres à pieds, désireuse de parcourir le magnifique chemin.

La météo était très favorable. Il ne faisait pas vraiment très beau mais le temps était doux et sec pour cette mi octobre.
Sur la pointe des pieds, j'arrivais au bord de l'étang. Longuement, cachée dans les fourrés, j'observais avec attention.
Je cherchais des yeux mon pêcheur. J'étais vêtue d'un jean, d'un léger pull et chaussée de "baskets". J'avais noué mes cheveux en queue. Avec la prudence d'une sioux, je m'avançais. Il était là, tranquillement installé sur sa chaise pliante, à bricoler l'une de ses cannes.

Je me mis à marcher lentement sur le sentier. A environ une cinquantaine de mètres, son attention attirée par ma présence, il tourna sa tête vers moi, me regardant arriver. Un étonnement se lisait sur les traits de son visage. Il me parût encore plus laid que la semaine dernière. Il se leva lourdement et me salua. Je m'arrêtais à sa hauteur. < Bonjour > me fit-il, en me faisant un signe amicale de la main. Je répondais à son bonjour en souriant. Très rapidement il me regarda avec un air un peu narquois en me disant : < Alors, tu viens prendre ton dessert ? >. Il se touchait sans arrêt, d'une façon assez vulgaire.

Je restais silencieuse. Il se mit à bavarder en m'expliquant sa façon d'amorcer ses appâts et de les accrocher à ses hameçons. Je regardais ce type, petit et moche et j'imaginais que j'avais déjà sucé sa queue. Je fus prise d'un léger vertige à la pensée de ce que j'étais venue faire ici. Mais, au fond de moi, j'éprouvais comme une fierté de m'être mise au défi de le refaire. Je m'étais assise dans l'herbe. Je regardais et j'écoutais cet homme me parler de sa passion pour la pêche. C'était presque surréaliste.

Au bout d'une dizaine de minutes, regardant autour de lui, il ouvrit sa braguette et sortit son sexe, toujours aussi ridiculement petit, mou et fripé. Je regardais avec attention, souriant sans doute comme une niaise. Il se la touchait tout en évoquant la pipe de la semaine dernière. Il prétendait que c'était une des toutes meilleures de sa vie ! < On retourne derrière la cabane ? Ca vous dit ? >, me lança t-il avec un clin d'oeil. Je m'entendais répondre < oui >, comme dans une sorte de délire auquel je n'avais nulle envie de me soustraire.

Il m'invita à le suivre. Comme la semaine passée, il m'entraîna derrière le vieux cabanon. Il se posa devant moi, s'appuyant sur la vieille table, la queue pendante. Je m'accroupie devant lui. Il me fit : < Tu es quand même une sacrée petite salope, tu sais ? >. Je regardais son sexe, affreux et mou. Une goutte vint rapidement perler au bout, dégoulinant sur la peau du prépuce. Je reniflais l'odeur de sa queue. Une puanteur aussi dégueulasse que la dernière fois. J'étais ecoeurée, c'était répugnant. Curieusement cela m'excita considérablement. Je ne comprenais pas cet étrange paradoxe entre l'excitation et le dégoût. Aujourd'hui, je sais...

Au bout d'un moment, comme je restais bêtement à genoux devant lui, l'homme me saisit doucement par mes cheveux attachés. De son autre main, il me passa son sexe sur le visage, insistant sur mes lèvres et mes joues. J'étais parcourue de frissons. Il agitait sa bite devant mon visage. Il se décalotta plusieurs fois. Je pouvais voir la pâte crêmeuse qui collait entre son gland et la peau de son prépuce. La puanteur était vraiment à la limite du supportable. Ce type avait une hygiène de porc.

Il finit par me l'enfoncer dans la bouche. Je le sentais se décalotter dans ma cavité buccale. Un goût acide se dégageait de la substance grumeleuse. Me maintenant par les cheveux, il se cambrait contre mon visage. Comme la première fois, son sexe restait mou. Je me mis à sucer. Presque immédiatement je pouvais déglutir du liquide séminale. Je savais qu'il lâchait des petites giclées de pisse, je commençais à comprendre, au goût, ce que ce vieux vicieux était entrain de faire. J'étais venue pour comprendre. A présent je comprenais bien. J'avais affaire à un vrai salop. Dans mon dégoût, j'appréciais le goût du liquide séminale, légèrement acide. Etranges sensations...

Très excitée, malgré mon intense dégoût, j'avais la bouche crêmeuse. Lors de certaines séquences, où il devait se "lâcher", j'avais du mal à déglutir assez rapidement. En luttant contre sa poigne, je retirais ma bouche pour laisser s'écouler le trop plein, en toussant. De longs filaments jaunâtres coulaient de ma bouche jusqu'au sol. J'avais des vertiges et des suées, c'était dégueulasse. Je sentais mon envie de vomir qui devenait de plus en plus forte. < Je vais te faire bouffer de la bite, petite salope, tu vas en redemander ! > me fit-il en me saisissant fermement par les oreilles.

A présent, me maintenant par les oreilles, il se masturbait dans ma bouche, en bougeant son bassin de manière régulière.
J'étais écoeurée. Ecoeurée par son comportement, écoeurée par son incontinence, écoeurée par ce que j'étais entrain de vivre. J'étais entrain de me faire insulter par un type que je suçais !
C'est au moment ou mon excitation disparaissait pour faire place à une certaine colère, qu'il éjacula en plusieurs saccades au fond de ma bouche. Il me maintenait toujours. Il me força à tout avaler. Son sperme était amère et épais. Tout le long de cette nouvelle fellation, j'avais éprouvé beaucoup de peine à déglutir son foutre épais et gluant. Cela collait dans toute ma bouche. J'étais à nouveau très excitée.

Avec peine, je me retirais de son étreinte pour me relever, prête à m'enfuir si le pêcheur voulait m'attrapper à nouveau.
Il se mit à pisser en me disant : < Tu vois, je t'ai pas tout pissé dans la gueule ! Il en reste encore ! >. Ce vieux vicelard m'aurait pissé dessus si je ne m'étais pas reculée. A reculons, je m'éloignais doucement. Comme la dernière fois, je me mis à marcher rapidement. J'étais déjà à une centaine de mètres lorsque le vieux salop me lança ; < Reviens la semaine prochaine, s'il pleut on va dans la cabane ! >.

Je me retournais pour le voir se réajuster. J'étais arrivée à l'orée de la forêt, marchant très vite, lorsqu'il me cria : < Merci, c'était super ! Salut ! > Je me retournais, il me fit un signe de la main droite, se touchant le sexe de la main gauche. Je lui fis un signe de la main levée, avant de disparaître pour retourner au centre hyppique. Au bout d'environ cinq minutes, je fus prise de nausées. Penchée au-dessus d'un petit arbuste, je me mis à vomir par spasmes désagréables. Lorsque j'avais réussi à dégueuler tout cet immonde mélange, je pris un chewing-gum dans ma poche pour soulager le goût écoeurant qui y restait. J'avais le haut du pull maculé de foutre.

Je rentrais avec mes certitudes. Les deux premières pipes de ma vie furent réellement de très grandes expériences...

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