Ma troisième fellation
Ce mardi après-midi était pluvieux. Il était quinze heure. Un ciel bas, gris et lourd semblait peser sur toutes choses. Empruntant la petite voiture de ma mère, je m'étais rendue dans la ville
voisine. Il me fallait faire quelques achats en rapports avec mes études. Je garais le véhicule au fond d'un petit parking, au fond d'une rue sans issue. Cet endroit, non payant, situé à
proximité du centre, était bien pratique et peu connu.
Je longeais les maisons grises, marchant sur un trottoir étroit. Sous mon parapluie, j'étais à l'abri de l'eau mais pas de la fraîcheur de ce mois d'avril. J'avançais vite, pressée d'arriver au
centre commercial où je ferais mes achats. J'arrivais au bout de la rue lorsque mon attention fut attirée par du mouvement, sur ma droite. Là, au fond du couloir sombre d'une porte cochère
ouverte, je distinguais la silhouette d'un homme qui me hêla.
Je m'arrêtais pour lui faire : < Pardon ? >. C'est là, en regardant plus attentivement, que je pû me rendre compte que l'homme se masturbait. < Vous pouvez me renseigner ? > fit-il en
se rapprochant. < Je cherche le numéro 5 de la rue, le Dermatologue ! > continua t-il encore en accélérant son mouvement masturbatoire.
Je détournais le regard et juste avant de reprendre mon chemin, je répondais : < excusez-moi, monsieur, mais je ne suis pas d'ici, au revoir ! > En tournant les talons, reprenant ma marche
rapide, je l'entendis prononcer des mots sans les comprendre. Au bout d'une trentaine de mètres, je me retrouvais dans une rue plus animée. Plus sécurisante.
Après avoir fait mes achats, je décidais de faire un tour dans les rues piétonnes du centre de la ville. Toujours à l'abri, sous mon parapluie, je regardais les vitrines des magasins. La
fraîcheur n'incitait pas à la flânerie. Aussi, vers dix sept heure, je décidais de revenir à la voiture. Je reprenais donc le chemin du retour.
J'arrivais dans l'impasse au fond de laquelle j'avais garé la voiture. En passant devant la porte cochère, je regardais sur ma gauche. A présent, les battants étaient fermés. Je marchais
rapidement jusqu'à mon automobile. Après avoir ouvert la portière, secoué mon parapluie, déposé mes deux sachets sur le siège arrière, je m'installais au volant. Je restais un instant à chercher
un mouchoir en papier dans la poche de mon imperméable.
C'est là que, passant entre les deux voitures, un homme vint se mettre contre le mur, juste devant mon auto. Il se mit à pisser. Terriblement gênée, préférant ne pas me manifester, je restais
immobile sans démarrer le moteur. Par acquis de conscience, je verrouillais ma portière en descendant le capuchon. Au bout de deux ou trois minutes, le quidam se retourna de trois quart. Je
pouvais voir son sexe qui pendait de sa braguette. C'est là que je compris que c'était le type de la porte cochère et qu'il s'exhibait discrètement. M'avait-il repérée ? M'avait-il attendue ?
Il me regarda et me fit un charmant sourire. Il devait avoir quarante cinq ou cinquante ans. Vêtu d'un manteau noir sur un pantalon gris. Des cheveux plutôt longs. Un visage fin et des yeux
bleus. Propre. Bêtement, ne sachant que faire, décontenancée, je lui souriais à mon tour tout en baissant immédiatement les yeux. L'individu, le sexe à l'air se dirigea vers l'entrée d'un parking
souterrain qui descendait sur la droite.
Je regardais vers l'entrée, prête à démarrer ma voiture. Là, l'homme, debout derrière le coin du mur, me fit signe de la main. Je vis son index qui m'invitait à le rejoindre. De sa main libre, il
agitait doucement son sexe dans ma direction. Cette situation vicieuse m'excita légèrement. Je sentais bien, au fond de moi que, si je ne partais pas de suite, je risquais de sortir du véhicule.
Je suis d'une nature curieuse...
Je restais ainsi, quelques minutes à regarder les agissements du type. Le lieu était désert. En scrutant dans les rétroviseurs, je pouvais me rendre compte qu'il n'y avait que l'exhibitioniste et
moi. Laissant agir mes instincts de vicieuse, surmontant mes appréhensions, je sortais de mon automobile et fermais la portière à cléfs. La pluie redoublait. Comme hypnotisée, je rejoignais
l'homme. Me faisant signe de le suivre, nous descendîmes vers le sous-sol quelques dix mètres plus bas.
Dans la pénombre, l'homme qui semblait bien connaître les lieux, entra dans un des box vides. Se mettant debout devant moi, toujours d'un geste de la main, me montrant tout à tour son sexe et le
sol, de son index, il m'invita à m'accroupir devant lui. C'est du moins ainsi que je compris son invitation. Je regardais autour de moi, l'endroit, même s'il était désert, n'était pas vraiment
discret. A tous moments pouvait descendre une voiture.
M'accroupissant devant le type, son sexe devant le visage, je regardais avec attention. C'était un cylindre de chair molle qui me faisait penser à une de ces saucisses destinées aux grillades. Au
bout d'un court moment, m'approchant encore, je reniflais la chose. L'odeur était plutôt forte. S'avançant légèrement, l'homme me la passa sur les lèvres et la bouche. Cela m'excita vraiment.
Ouvrant la bouche, j'avalais son sexe. Le goût, une fois de plus, me semblait âcre, presque amer. Je me mis à sucer. Presque immédiatement m'arrivait le liquide séminal en flux continu.
L'excitation que devaient lui procurer ces agissements d'exhibitioniste, avait dû remplir ses couilles de foutre. Cette nouvelle expérience, avec un nouvel inconnu, me fit prendre conscience de
mes penchants. J'aimais "ça" ! Par contre, une fois de plus, c'était un sexe qui restait mou. Aucune érection pour m'étonner quelque peu, comme le fait mon copain aujourd'hui.
Je suçais depuis une bonne dizaine de minutes. Ce type était réellement juteux. Par instants, j'avais de la peine à déglutir tellement les sécrétions étaient fournies. Par trois saccades,
l'éjaculation m'emplie la bouche. J'avalais avec peine la grande quantité de sperme. J'appréciais vraiment ce nouvel épisode de ma découverte de la fellation. Je me redressais et réajustais mes
longs cheveux. L'inconnu me déposa une bise sur le front. Je trouvais cela charmant.
Enfin le type prononça quelques mots. < Je ne te devinais pas aussi salope ma belle ! > fit-il assez vulgairement. < Tu reviens un de ces jours pour une autre pipe ? > me lança t-il
en me prenant le bras pour m'entraîner vers la sortie. < Tu es tentée ? > rajouta t-il avant que je ne puisse répondre aux arguments précédents. Arrivée en haut, sur le parking où j'avais
la voiture, je m'entendis dire : < Peut-être, je viens de temps en temps garer l'auto ici ! >...
C'est là qu'il ferma enfin sa braguette et me proposa le mardi prochain, même heure et même endroit. Me dépêchant de retourner à ma voiture, avant de m'assoir et de fermer la portière, je fis :
< Peut-être, on verra ! >. Je fis démarrer le moteur, je fis les manoeuvres nécessaires, et, accélérant, je me retrouvais à rouler, presque soulagée. Le goût du liquide séminal ajouté au
goût amer du sperme du type, m'obligèrent à me saisir d'un des chewing-gum que laissait ma mère dans le vide-poche. Toujours ce goût dégoûtant qui m'excitait terriblement...
Sur le chemin du retour, je pensais à ce qui m'était arrivé et à la situation que je venais de vivre. Prenant également subitement conscience de ma folle témérité. Conscience de mon...
inconscience !
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Ma quatrième fellation
Les jours suivants, je pensais souvent à cette nouvelle expérience. Cette nouvelle expérience avec cet inconnu, dans le parking souterrain. C'est donc le dimanche après-midi, en me promenant à
cheval, que je pris la décision de retourner en ville, mardi pour quatorze heure.
J'empruntais à nouveau la voiture de ma mère. Je m'assurais de la présence des chewing-gum dans la boîte à gants. J'avais mes mouchoirs en papiers. J'étais donc équipée.
Ce mardi après-midi était maussade. Un ciel bas et triste donnait une ambiance sinistre à toute chose. J'étais vêtue d'une jupe, d'un pull et des collants bien chauds me protégeaient de la
désagréable fraîcheur qui régnait. Des souliers à légers talons me permettraient de marcher vite, voire de courir si le besoin s'en ferait sentir. Sur mes vêtements, j'avais mon imperméable
beige.
Je garais la voiture sur le même parking que le mardi précédent. Presque au même endroit. Plus près encore de la descente vers le souterrain. Je restais ainsi, assise dans la voiture, les sens
aux aguets. Par prudence, j'avais verouillé les portières de l'intérieur. Il était quinze heure, il n'y avait pas le moindre mouvement, personne.
Au bout d'une dizaine de minutes, le type de la dernière fois arriva. Je le vis marcher en regardant dans le rétroviseur intérieur. Il ne m'avait pas repéré. Il ne se doutait sans doute pas de ma
présence ici. L'individu alla se placer derrière les bosquets, le long d'un vieux mur, sur la gauche. Je ne pouvais pas distinguer ce qu'il faisait. Par moment, toutes les deux ou trois minutes,
je voyais sa tête jaillir dans un trou du feuillage. Il observait attentivement l'accès au parking. Je me trouvais garée derrière deux autres voitures, il ne m'avait donc pas encore vu.
La situation commençait à m'exciter. J'observais les agissements du type avec beaucoup d'attention. Au bout de cinq minutes, l'homme s'avança un peu plus. Vêtu d'un pantalon noir, d'un pull noir,
portant un caban noir, il se confondait presque parfaitement à l'environnement où il se dissimulait. Là, à moitié hors de sa cachette, je pouvais constater que, de sa braguette ouverte, pendait
son sexe. Ce sexe que j'avais sucé la semaine dernière. J'eu soudain un frisson de dégoût.
Rapidement, l'homme retourna dans sa cachette. Je me doutais à présent de ce qu'il faisait. Pas de doute, c'était un exhibitioniste, un vrai. Considérablement excitée par ce mélange de dégoût et
de curiosité, je sortais de la voiture en faisant semblant de rien. Il dût m'apercevoir immédiatement car, en fermant la portière à clef, j'entendis soudain derrière moi : < Super ! Tu es
revenue ! >.
Je me retournais. Le vicelard était debout entre la voiture et le mur, se touchant le sexe. Je fis simplement < Bonjour ! >. Faisant mine de vouloir quitter le lieu, je me mis à marcher en
lui tournant le dos. D'une voix hésitante, il me fit : < Tu veux pas sucer un peu, avant de filer ? >. Je m'arrêtais et me retournais. Je regardais le sexe qu'il tenait entre son pouce et
son index. Il rajouta : < T'as pas envie de descendre comme l'autre fois ? >.
Je restais silencieuse en observant le visage de ce salopard. Il était plutôt quelquonque. Un regard vicieux et sournois. Au bout d'un petit moment, juste au moment où arrivait une voiture, je
lui répondais : < Pourquoi pas ! Mais pas longtemps, j'ai un rendez-vous avec mon copain qui arrive dans un petit moment ! >.
Il me fit signe de le suivre. Nous dévalions à pas rapides les quelques trentes mètres de la descente vers le parking souterrain. J'étais follement impatiente de sucer. Là, arrivé dans
l'obscurité du même box que mardi dernier, il se tourna vers moi, se cambra sur ses jambes et me fit : < Viens faire ta pipe, petite salope ! >. Avec le plaisir fou qui m'envahissait malgré
moi, je me suis accroupie devant le vicelard. L'odeur de son sexe était aussi forte que la fois précédente. Il me le passa sur le visage, les joues, insistant sur mes lèvres. Puis, me saisissant
par les cheveux que j'avais laissé pendre, il me fourra sa queue dans la bouche. J'étais abasourdie et si contente.
Avec un mouvement de va et viens, il se masturbait dans ma cavité buccale. Il me maintenait fermement à chaque fois qu'il cessait de bouger. De grandes quantités de liquide séminale envahissaient
ma bouche. J'avais peine à déglutir tout ce foutre gluant. J'étais à la fois dégoûtée, presque horrifiée de ce que j'étais entrain de faire, de subir. Mais, curieusement, comme à chaque fois,
j'étais également très excitée. Ma nature profonde de vicieuse trouvait là toute sa dimension, tout son enchantement.
Au bout d'une dizaine de minutes, l'homme lâcha son jet de sperme en trois saccades incroyablement abondantes. Il me lâcha les cheveux. Je déglutissais avec effort et passion. C'était à la fois
tellement dégoûtant et tellement excitant que j'étais parcourue de frissons. Je gardais son sexe en bouche dans le secret espoir qu'il m'offrirait une nouvelle scéance, une nouvelle giclée.
Hélas, il se retira et se réajusta pendant que je me relevais, mes jambes flageolantes. < T'es une superbe pipeuse, bravo, tu m'as super vidé les couilles ! > me fit-il avec une vulgarité
inutile que je trouvais parfaitement déplacée.
Mes jambes débarassées des fourmis qui les engourdissaient, rapidement, je remontais la pente qui menait au parking extérieur. < Tu reviens mardi prochain ? > me fit l'homme derrière moi.
Je me retournais pour constater que le type se tripotait toujours encore. Il me fit un sourire vicelard et un signe de la main devant sa bouche qui mimait une fellation. De sa langue il faisait
une bosse à l'intérieur de sa joue. Sans répondre, je me dépêchais de retourner à la voiture. Rapidement j'ouvrais la portière, m'installais, démarrais et quittait les lieux.
Dans le rétroviseur, juste avant de quitter le parking, je vis le type qui me faisais un signe d'adieu de la main. Je sortais la mienne pour lui rendre sa politesse. Une fois de plus, je me
retrouvais avec ce goût particulier dans la bouche. Plutôt que de prendre un chewing-gum, je dégustais longuement cette saveur dégueulasse. Je savais à présent que j'appréciais ces situations. Je
suis vicieuse depuis longtemps. Je me complais dans les séquences vicieuses que je m'offre ainsi, parfois, avec de parfaits inconnus. Ma témérité m'effraie.
Arrivée chez moi, je me dépêchais de monter dans ma chambre afin de me masturber. Me masturber longuement, comme une démente, avec ces souvenirs encore tous frais...
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Le début d'une longue série
Une de mes exhibitions inoubliables
Ce matin de la fin juin, déjà en vacances de ma première année à l'université, j'étais allé faire de la bicyclette sur la piste cyclable qui longe le vieux canal. Il faisait merveilleusement beau
et chaud. Il devait être neuf heure. J'aime aller dans la nature lorsque les beaux jours le permettent. Je me promenais, pédalant doucement mais régulièrement sur mon vélo de course. J'avais déjà
parcouru une bonne dizaine de kilomètres. Je croisais déjà, malgré l'heure plutôt matinale, nombre de cyclistes qui profitaient, comme moi, de cet agréable début de journée.
Je décidais de m'arrêter près de la grande écluse afin de regarder les manoeuvres que s'apprêtaient à faire deux bateaux. Depuis longtemps, le vieux canal ne faisait plus flotter de grosses
péniches. Cela faisait partie d'un passé déjà lointain. Non, les bateaux qui franchissaient les écluses étaient propriétés de plaisanciers, souvent retraités et toujours dilettantes. De beaux
bateaux, aux noms variés, hollandais le plus souvent, allemands et parfois français, circulaient sur les eaux calmes du vieux canal. Des employés des Voies-Naviguables-de-France, (VNF),
actionnaient les énormes battants afin de réguler les surfaces de l'eau entre deux tronçons.
J'étais assise sur un rocher, près de l'eau, entre deux grands bosquets d'arbres. Il n'y avait pas le moindre souffle de vent. J'étais vêtue de ma robe préférée. Une robe beige, à motifs floraux,
serrée à la taille par une ceinture de toile. J'étais chaussée de "baskets". Aussi, comme j'aime à le faire, lorsque je suis seule, je remontais le tissus de ma robe afin de mettre mes cuisses au
soleil. La douceur du soleil était particulièrement agréable. Je restais ainsi, la tête penchée en arrière, les yeux fermés écoutant le bruit de l'eau qui emplissait l'énorme réservoir de
l'écluse.
Soudain, comme avertie par mon sixième sens, très developpé, j'ouvrais les yeux pour regarder devant moi. Là, entre deux fourrés, de l'autre côté du canal, il y avait un homme qui me regardait.
Personne ne pouvait le voir sauf moi. Il était vêtu d'un pantalon brun, d'un T-shirt carmin, chaussé de gros souliers de marche. A ses côtés, au sol, était posé un gros sac à dos. L'homme devait
avoir environ quarante ans. Sans doute un promeneur qui randonnait là. Il se tenait à environ vingt mètres de l'endroit où j'étais assise. Je pouvais constater qu'il n'avait rien du "routard" ou
du vagabond. Ses vêtements semblaient neufs et propres.
Il me fit un signe de la main et un signe de tête. Je baissais ma robe en lui souriant et en répondant à son signe par un mouvement de la main. Tout comme moi, l'homme devait attendre de voir
passer les bateaux dans l'écluse. Nous pouvions entendre le bruit des moteurs tournant au ralenti. J'évitais de trop regarder dans sa direction. Je restais les yeux baissés à caresser mes longs
cheveux. C'est en relevant la tête pour la troisième fois que je pouvais voir l'inconnu, debout, entrain de mimer, de la main droite, une masturbation masculine. Il me souriait tout en faisant ce
mouvement caractéristique, régulier et lent. Gênée, je baissais les yeux à nouveau après lui avoir envoyé, un peu malgré moi, un sourire.
La situation ne manquait pas de susciter, chez moi, une confusion troublante. Entre la gêne et l'excitation. Je relevais la tête pour regarder dans la direction de l'homme. A présent, les mains
sur les hanches, debout, solidement campé sur ses jambes, il me présentait son sexe dressé, en érection, par sa braguette ouverte. Il faisait bouger son sexe de façon régulière sans le toucher.
Je ne pouvais m'empêcher de trouver cela superbe. Je regardais son visage. Il n'était pas vraiment beau, des lunettes sur un nez rond, des cheveux mi-longs, grisonnants sur les tempes. Un petit
ventre qui déformait son T-shirt. Je baissais à nouveau les yeux, terriblement troublée.
Au bout de quelques instants, je relevais la tête. Il avait baissé son pantalon et se masturbait tout en me souriant. Je sentais battre mon coeur de plus en plus fort. Ou bien je quittais les
lieux, ou bien j'entrais dans le jeu de l'exhibitioniste. Je regardais longuement avant de décider de saisir cette opportunité de m'amuser un peu. De l'index de la main gauche, il me fit signe de
le rejoindre. De la main droite il mimait une pipe en gonflant sa joue avec sa langue. Cela acheva de m'exciter. Voilà une occasion de tailler une pipe à un inconnu qui se présentait une nouvelle
fois à moi. Avec cette matinée radieuse, une fellation serait un peu la cerise sur le gateau. Depuis l'aventure du pêcheur, puis de l'inconnu du parking, j'aime tant sucer.
Me sachant hors d'atteinte, de l'autre côté de l'écluse, j'écartais mes cuisses. Je descendais ma culotte et je commençais à me toucher. Je suis une vraie exhibitioniste et des situations comme
celles-ci sont biens trop rares pour que je n'en profite pas. L'homme devait être à la limite de l'apoplexie. En effet, son mouvement masturbatoire s'accéléra. Il se cambra sur ses jambes. La
bouche ouverte, les yeux écarquillés, il me contemplait comme un dément. Je me levais de mon rocher. M'accroupissant devant le rocher, la culotte aux genoux, j'essayais de pisser. Avec
l'excitation considérable, il me fallait me concentrer. Je restais ainsi, les yeux fermés, m'imaginant les pieds dans l'eau froide. En général cela me fait pisser. Soudain, je sentis venir le
jet. Je me cambrais en avant afin de lancer le jet le plus loin possible devant moi. Cette position, hautement vicelarde, est une de mes préférées.
J'ouvris les yeux pour regarder l'inconnu. Il était tombé à genoux et me regardait comme si j'étais une extra-terrestre. Je pissais comme une démente. Cela me procura un plaisir fou. Soudain, là,
sur ma droite, arriva un employé des VNF. < Eh bien mademoiselle, ça va ? > me fit-il. Je vivais là un instant fou. Cela me pétrifia de jouissance. Mon coeur, dans ma poitrine, fit un bond
incroyable. Je terminais de pisser devant les deux types dans un plaisir démentiel. Prenant soudain conscience du surréalisme de l'instant, je me redressais, je remontais ma culotte en disant :
< Oh pardon, excusez-moi, mais c'était urgent ! Mille pardons. >. Prenant mon vélo, rapidement je retournais sur la piste cyclable. A présent, le premier bateau commençait à avancer dans le
sas. Je restais à admirer ce beau spectacle. Le type de l'écluse me regardait avec un sourire vicieux. Par contre, l'exhibitioniste avait disparu. De continuer à rester ainsi, sous le regard
insistant, des inconnus qui m'ont "surprise", est le vrai plaisir que je recherche. C'est un peu le "bonus" que j'apprécie le plus. Cela me gêne, m'envahi de honte et me fait trembler de plaisir.
Il me faudrait rapidement trouver une cachette pour me masturber.
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Ma première pipe dans un parc
Cet après-midi de juin, je m'étais rendue dans un petit parc où j'aimais à flâner un peu. J'aimais tout particulièrement m'assoir sur un banc et lire. Il m'arrivait régulièrement, aux premiers
beaux jours, de venir réviser là, dans le calme et la verdure.
A cette époque, j'étais encore étudiante. J'aimais l'ambiance de ce parc agencé à l'ancienne et à la "Française". Les frondaisons offraient d'agréables endroits où s'isoler. C'est là, près de la
fontaine murale, que j'appréciais ces moments de quiétude.
Ce jour-là, premier jour des vacances de cette seconde année de faculté, je m'installais donc ici, sur mon banc, isolée, à l'abri des regards. Ce banc de bois, à côté de cette magnifique tête de
lion, sculptée, qui laissait couler le flux continu d'une eau claire et potable. J'avais avec moi ce livre de Gustave Flaubert, "l'éducation sentimentale".
J'étais plongée dans ma lecture depuis une dizaine de minutes. Le gazouillis des oiseaux étaient la seule distraction sonore, lorsque soudain, là, dans les fourrés, devant moi, à environ dix
mètres, il y eut une série de bruits de feuillages. Je relevais mes yeux de ma lecture pour observer l'agitation des feuilles.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir la silhouette d'un homme derrière les fourrés. M'observait-il ? Que faisait-il derrière ces bosquets où ne passaient aucun chemin ? Je concentrais mon
attention sur l'étrange manifestation. Cela dura quelques minutes. Je ne pouvais aperçevoir que cette silhouette qui se dessinait derrière le feuillage.
J'étais vêtue d'une jupe bleue marine, d'un chemisier beige et chaussée de mocassins à légers talons. Sur mes épaules, j'avais déposé négligemment un pull, d'un bleu ciel fait d'une fine laine.
Mes longs cheveux chatains étaient attachés en une longue tresse qui pendait dans mon dos. J'avais donc toute lattitude de me sauver rapidement en cas de soucis.
J'observais avec soin devant moi. Soudain, l'inconnu s'avança davantage. Là, je pouvais constater qu'il se masturbait. La braguette de son pantalon ouverte, il se touchait le sexe. Un sexe qui
semblait long et fin. J'avais deux options. Ou je me levais et quittais les lieux. Ou, comme j'aime à le faire, je continuais mon voyeurisme.
Les choses cessèrent aussi subitement qu'elles avaient commencé. L'inconnu était partit ou, en tous cas, avait cessé de manifester sa présence. Je scrutais longuement les branchages. Il ne s'y
passait plus rien. Au bout de quelques minutes, je repris ma lecture. L'homme, sans doute dérangé par une raison inconnue, s'était en allé.
Je lisais à nouveau depuis cinq minutes lorsque mon attention fut attirée par la présence d'un promeneur. Un homme s'avançait d'un pas léger dans l'étroite allée qui menait à ma "cachette". Il
vint s'assoir sur le banc voisin. Ce banc, situé à une dizaine de mètres, était à demi masqué par un bosquet. Etait-ce mon exhibitioniste de tout à l'heure ? Je ne pouvais pas en être certaine.
Toujours est-il qu'il déplia un journal. Après m'avoir salué, il se plongea dans sa lecture sans me prêter la moindre autre attention.
Moi aussi, j'avais repris ma lecture. Même si mon livre était loin d'être passionnant, sa lecture était nécessaire dans le cadre des mes études. J'en avais repoussé la découverte le plus
longtemps possible. Gustave Flaubert n'étant pas un de mes auteurs préférés. J'étais ainsi, à lire, concentrée, un long moment. Parfois, je relevais les yeux pour regarder machinalement autour de
moi.
Cette fois-ci, en relevant les yeux, je découvris que l'inconnu, assis, se touchait le sexe. C'était donc bien le type des fourrés qui était venu s'exhiber près de moi. Je pouvais voir son sexe
qu'il tenait à sa base, entre le pouce et l'index. Je constatais également que, derrière ses lunettes de soleil, il louchait dans ma direction. Sans doute pour observer mes réactions.
Je fis semblant de reprendre ma lecture. J'étais profondément troublée. Troublée mais curieusement heureuse d'être confrontée à cette situation. L'individu devait avoir la quarantaine. Un peu
dégarni, maigre, le teint mat, il faisait un peu "employé de bureau" vieux style. Comme sorti d'un film en "noir et blanc" des années cinquante. Je louchais dans sa direction pour ne rien perdre
de ce qu'il faisait.
Au bout de cinq minutes de ce petit jeu, je relevais la tête et je regardais franchement dans la direction de l'exhibitioniste. Je fixais son sexe en souriant. L'inconnu pouvait ainsi découvrir
mon intérêt pour son attitude. Cela m'excita considérablement. Il me fit un sourire et inclina son sexe dans ma direction en l'agitant légèrement. Je lui fis un large sourire pour le remercier de
son "attention". Un délicieux frisson parcouru, en même temps, tout mon corps.
Nous étions à nous observer depuis quelques minutes. L'homme continuait à secouer lentement son sexe dans ma direction. Il continuait à le tenir à sa base, entre le pouce et l'index. Je souriais
sans doute niaisement devant ce "spectacle", mais je ne pouvais plus en détourner mon regard. J'avais fermé mon livre et je l'avais posé à mes côtés. J'avais une forte envie de me toucher qui
commençait à poindre. Je restais toutefois réservée et immobile.
Au bout de quelques nouvelles minutes, l'inconnu m'adressa enfin la parole. < Le spectacle vous plaît-il, mademoiselle ? > me fit-il avec un fort accent allemand. Un peu stupide, je
haussais les épaules avant d'avoir une réponse toute aussi stupide : < C'est amusant ! >. Il se leva et vint s'assoir à mes côtés. Après un bref instant de craintes, je me poussais à
l'extrêmité de mon banc. Je regardais ce type, la braguette ouverte, son sexe dressé, avec une certaine consternation.
L'homme continuait à se tenir le sexe à sa base. Par mouvements réguliers il l'inclinait dans ma direction en l'agitant. < Ca vous dirait de le goûter ? > me fit-il, au bout de cinq
minutes, en me fixant par dessus ses lunettes.
Je le regardais attentivement. Il n'était pas vraiment séduisant. De la sueur perlait sur son front, son nez et sur ses joues creuses. Petit, il devait m'arriver aux épaules. Je regardais son
sexe avec une plus grande attention encore.
L'extrêmité était mouillée. Un liquide épais et limpide s'en échappait pour couler jusque sur les doigts du type. Il se décalotta soudain, tout en agitant son membre. Le gland violacé était
maculé de substances épaisses et gluantes, tirées en filaments par la peau du prépuce. En même temps, une forte odeur, rappelant un fromage fermenté, me vint aux narines.
Il se leva et s'approcha de moi, me présentant son sexe. J'avançais mon buste, penchais ma tête en avant. Le type se rapprocha encore pour me mettre son membre dans la bouche. Immédiatement, un
frisson de dégoût me parcoura toute entière. En même temps, mon excitation était à son comble. C'est cette première impression qui m'excite toujours le plus. Son sexe fin, au goût âcre, lâchait
un liquide séminale presque en continu.
Le vicelard se décalotta à nouveau dans ma bouche. Je pouvais sentir, sous ma langue, la saveur grumeleuse du "fromage" que j'avais pû apercevoir autour de son gland. J'étais à la fois écoeurée
et terriblement excitée. Avec ma langue, tout en suçant, je fouillais tous les plis du prépuce. Je ne voulais pas en perdre la moindre particule. La "fermentation" devait avoir quelques jours car
c'était réellement dégueulasse.
Je me retirais afin de reprendre mon souffle. J'avais déjà, en dix minutes, dégluti tant de substances, qu'il me fallait prendre quelques bouffées d'air. L'odeur de son sexe était dégoûtante. Le
type me le passa sur le visage en me le frottant partout sur la face. Je regardais autour de nous. Il n'y avait personne. L'inconnu me fit : < T'inquiètes pas, je surveille ! >.
Me saisissant par la nuque et le menton, le type m'enfonça à nouveau son sexe dans la bouche. Durant toute cette fellation, l'inconnu resta parfaitement immobile. Ses couilles semblaient
fabriquer du foutre à la vitesse où je l'avalais. Cela n'en finissait pas. Il s'était nettoyé le sexe dans ma bouche et, maintenant, il éjacula, toujours sans bouger. Il maintenait ma tête. Je
déglutissais ce liquide épais avec peine.
Lorsque tout fut terminé, il me lâcha. < Tu aimes ça, hein ? > me fit-il en se mettant à pisser juste à côté du banc. J'essayais, avec peine, d'avaler les dernières traînées épaisses et
gluantes en regardant le type pisser, sans gêne, à cinquante centimètres de mon visage. La peau de mon visage, à cause du foutre qui avait sêché et de la chaleur, me tirait.
Soudain, à peine après avoir terminé, il me saisit à nouveau par la tresse et m'enfonça son sexe pisseux dans la bouche. Cette nouvelle surprise me dégoûta. Par reflexe, comme il me maintenait
fortement la tête, je me mis à sucer à nouveau. Le vicelard n'avait pas fini de pisser car il se termina dans ma bouche. Pomper de la pisse avec des restes de foutre contribua à me dégoûter et à
m'exciter en même temps. A un point vertigineux.
Le type se mit à bouger rapidement son bassin. Il se masturbait dans ma bouche. Au bout de quelques minutes, il éjacula une nouvelle fois. Ecoeurée, dégoûtée, à la limite du vomissement, je
tentais d'avaler ces nouvelles giclées. Elle me semblaient encore plus abondantes que la fois précédente. Le type me tenait par la tresse. Je n'avais pas d'autres choix que de déglutir
péniblement.
Enfin, il me lâcha. Rangeant son sexe, il me fit : < Ca te dirais de refaire encore ? >. Je me levais. Je ramassais mon livre tombé à terre et me dépêchais de quitter les lieux sans
répondre. Arrivée à l'extérieur des bosquets, je me retournais. L'inconnu mimait une pipe avec sa main devant la bouche. Il me fit : < Lundi prochain ? >. Je lui lançais un dernier sourire
avant de me sauver en marchant vite.
Je n'avais pas de chewing-gum sur moi, aussi, je devais supporter le goût dégueulasse du type une bonne partie de l'après-midi. Arrivée chez moi, durant toute la durée de ma masturbation, j'en
gardais le goût en bouche. Des tâches curieuses sur le haut de mon chemisier...
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Je retourne au parc
Je reviens au parc
Ce que j'avais vécu jeudi dernier, au parc, m'était resté en mémoire tout le week-end. Curieusement, comme à chaque fois, ou presque, je gardais les impressions de ces moments particuliers de
façon très prégnante. Aussi, dès le samedi soir, durant le repas familial où je m'ennuyais à écouter les histoires de mon oncle, je pris la décision de retourner au parc lundi après-midi. Durant
ma promenade à cheval, le dimanche après-midi, je me plaisais à me remémorer, encore et encore, les souvenirs du jeudi, anticipant ce qui allait sans doute se passer le lendemain.
Le lundi arriva enfin. J'étais libre comme l'air puisque mon année d'étude faisait place aux vacances. De plus, ce début de mois de juin était radieux, ensoleillé, chaud et lumineux. Dès le matin
, j'étais fébrile et impatiente de voir défiler les heures. Le repas de midi, avec mes parents, fut très plaisant. Mon père me demanda pourquoi je mangeais si vite. Je ne savais quoi répondre et
me contentais de sourire. A la fin du repas, après être passée à la salle de bain, je montais dans ma chambre pour me changer.
Je mis une robe légère. Une des deux robes que j'aimais à porter en été. Celle-ci était beige, d'un lin léger, serrée à la taille par une ceinture de lin également. Arrivant aux genoux, ample,
elle permet d'être parfaitement à l'aise. Dessous, je mettais un soutien gorge beige. Mes seins, petits et menus n'en éxigent point, mais j'aime le contact du soutien gorge. Je le porte en
presque toutes circonstances. Je mettais ma culotte blanche "porte-bonheur". Celle que je porte curieusement, par le plus grand des hasards, à chaque fois que je vis une de mes "aventures"
particulières. Là, je voulais forcer la "chance".
Je pris ma bicyclette pour descendre la piste cyclable qui longe le vieux canal. Par là, je pouvais arriver au parc en évitant la ville et les dangers de la circulation. J'arrivais enfin au parc
pour quatorze heure trente. Je poussais mon vélo dans l'allée centrale. Il y avait quelques mamans jouant avec leurs enfants. Il y avait quelques couples de personnes âgées assis sur les bancs.
Je tournais dans la petite allée qui menait à ma "cachette". Là, après deux cent mètres à marcher dans l'ombre des grands platanes, j'arrivais dans mon coin isolé.
Il n'y avait personne. Je posais ma bicyclette sur sa béquille à côté de mon banc. Assise, je fis semblant de lire, curieuse de voir comment les choses allaient arriver. Je restais ainsi une
bonne demi heure. Il ne se passait rien. Je pouvais entendre les cris des enfants et, parfois, les paroles échangées par des promeneurs qui passaient derrière les bosquets voisins. Je serrais mes
cuisses posée l'une sur l'autre, régulièrement dans un mouvement masturbatoire. Une chose que j'apprécie de pratiquer souvent lorsque je suis excitée ou "curieuse".
Au bout d'un nouveau quart d'heure, je me levais. J'allais dans les fourrés, posant mon livre à mes côtés. Là, accroupie, la culotte aux genoux que je maintenais tirée vers le haut, les cuisses
écartées, je me mis à pisser. Lorsque je suis dans de telles situations, je pisse par petits jets. Entre chacun d'eux, je laisse passer un moment que j'essaie de faire durer. Cela m'excite
considérablement. Je pourrais être vue et, c'est parfois si agréable, qu'avec ma main libre, je me touche.
Soudain, là, devant moi, se trouvait le type de jeudi. Je ne l'avais pas entendu venir. < J'arrive au bon moment ! > fit-il en secouant son sexe dans ma direction. Il se tenait debout à
environ trois mètres. < Bonjour, ça fait une demi-heure que je suis planqué et que je te regarde ! > me lança t-il avec son accent. < Bonjour > lui fis-je en me relevant rapidement et
en me réajustant. < J'aime les chattes poilues et la tienne est belle ! > me fit-il encore en descendant son pantalon et en se couchant au sol. Là, allongé sur le côté, secouant son sexe
toujours dans ma direction, il m'invita à venir m'assoir.
Je restais là, debout, un peu stupide. J'avais rêvé d'une situation vicieuse tout le week-end. Voilà que cette situation se présentait, là, rien que pour moi. Au bout d'une petite minute, je
m'asseyais sur mon livre à un bon mètre de l'inconnu. < Montre-moi encore ta chatte ! > me demanda t-il vulgairement. Après un instant d'hésitation, j'écartais mes cuisses et tirais ma
culotte afin de lui montrer mon sexe. Il resta à regarder quelques minutes, puis me lança : < Tu aimes te faire bouffer la chatte ? >. Cela ne m'était encore jamais arrivé. Je le lui fis
savoir. A son invitation, en repoussant sa main, je lui répondis que je ne voulais pas maintenant. < Tu préfères tailler des pipes hein ? > me fit-il en mimant la chose avec sa main devant
sa bouche.
J'étais venue pour "ça". Aussi, à son invitation de lui faire une pipe, je répondais par un simple < Oui >. Toujours couché sur le côté, il me fit signe de me rapprocher avec son l'index en
disant : < Viens >. Je m'approchais. Je regardais son sexe, ses cuisses poilues, ses couilles fripées. Un frisson de dégoût me secoua toute entière. Le type m'attrapa par les cheveux que
j'avais laissé libres. Je glissais complètement au sol, sur l'épaule, le visage maintenu à la hauteur de son sexe. L'odeur était pire que la dernière fois. Répugnante et pourtant tellement
excitante.
Il me passa son sexe sur tout le visage, dans les cheveux. Assez brutalement, il m'enfonça son membre dans la bouche. Il commenca à bouger régulièrement son bassin, se masturbant dans ma bouche.
Un nouvelle fois, il essaya de glisser sa main entre mes cuisses. Je le repoussais avec force. Avec peine je détournais la tête le temps de dire < Non >, fermement. < Tu préfères me
vider les couilles, hein, petite salope ? > me fit-il en maintenant fermement ma tête contre son bassin. A plusieurs reprises, il retira son sexe de ma bouche pour me le frotter sur le visage.
Ce type était un vrai salopard. Je suis une devenue une "habituée" de ce genre de mec, mais là, c'était limite.
La situation perdurait ainsi depuis un bon quart d'heure. J'étais en larmes et pourtant cela m'excitait comme jamais. Soudain, le type éjacula, me crachant plusieurs jets au fond de la gorge. Il
continuait à me maintenir fermement. J'avais toutes les peines du monde à déglutir. Je m'étouffais, je toussais. Enfin, il relâcha son étreinte. < T'es une super vide-couilles ! > me fit-il
avant de me pisser au visage qu'il maintenait toujours par les cheveux.
Surprise, je me retrouvais trempée de pisse. Je ne m'y attendais pas du tout. Il allait me falloir rentrer mouillée, à la maison ! J'avais les cheveux qui dégoulinaient dans la nuque. De la pisse
chaude et qui commençait à coller avec la chaleur. Je m'étais redressée, prête à m'enfuir car j'en avais vraiment "bavé". J'avais la robe trempée et sale sur tout le côté droit. Il me rattrapa
par le bras en me disant : < Attends, j'en ai encore dans les couilles ! >. Il acheva de pisser sur le bas de ma robe. Posant sa main sur ma tête, il me força à m'accroupir. Je tombais à
genoux sur le sol.
Il enfonça une nouvelle fois son sexe dans ma bouche. Considérablement excitée, dans un mélange d'écoeurements et de dégoûts, je me mis à sucer. Du liquide chaud comme une tisane coulait au fond
de ma gorge. Rapidement, au bout de quelques minutes, le type éjacula une nouvelle fois. J'avalais, comme hallucinée. Je me redressais, je me relevais, je n'en pouvais plus. Je me mis à vomir sur
les chaussures du mec. < Espèce de salope, tu me dégueules dessus, je vais te le faire bouffer ! >.
Il avait le pantalon aux chevilles. J'en profitais pour m'enfuir, sauter sur mon vélo et pédaler comme une folle jusqu'à la sortie du parc. Manquant de justesse de renverser deux ou trois
personnes au passage. Je rentrais chez moi dans un état second. Rapidement, pour ne pas être surprise par ma soeur ou ma mère, je m'enfermais dans la salle de bain. Je me regardais dans le
miroir. J'avais les cheveux mouillés. De la terre collée par la pisse sêchée, jusque sur la nuque. Ma robe certainement irrécupérable. Je me découvrais, ce jour-là, un minois de vraie salope.
Plus tard, couchée sur mon lit, me masturbant devant l'armoire à glace, je pris conscience que le plaisir de la soumission, qui m'envahissait de plus en plus, pour mes dix neuf ans, serait une
composante naturelle de ma sexualité.
Il y aurait même bientôt un désir d'être humiliée...
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L'inconnu de l'immeuble
Il était dix sept heure, j'étais dans l'ascenseur qui me ramenait au rez-de-chaussée de l'immeuble où mon amie louait un studio. Nous étions toutes les deux au début de notre seconde année de
faculté. Je passais quelques fois chez elle pour lui apporter les cours qu'elle avait manqué. Travaillant pour payer ses études, il lui était souvent difficile de concilier son emploi et les
horaires de cours. Je me faisais donc un devoir de l'aider un peu.
Son studio, situé au septième étage d'un immeuble résidentiel, offrait une vue magnifique sur la ville et sur la campagne environnante. J'étais donc à descendre dans l'ascenseur lorsque celui-ci
s'arrêta au quatrième étage. La double porte s'ouvrit pour laisser entrer un homme de petite taille, vêtu de façon très élégante. Nous étions au début du mois de novembre, le port du manteau
s'imposait pour se prémunir du froid. Le quidam en portait un noir, épais et très propre. Sans doute quinquagénaire et certainement en surpoids.
< Bonjour > me fit l'inconnu en pénétrant dans l'espace étroit de l'ascenseur. < Bonjour > lui fis-je avec un sourire. < Vous descendez au sous-sol ? > me demanda l'homme. <
Non, non, je m'arrête au rez-de-chaussée > répondis-je. Il appuya sur le bouton "Sous-Sol". L'ascenseur s'arrêta au rez-de-chaussée, je m'apprêtais à quitter la cabine, lorsque l'homme me
demanda : < Vous êtes de la région, vous connaissez un peu le quartier ? >. Je regardais dans sa direction pour m'apercevoir qu'il avait son sexe qui dépassait de la braguette.
< Non, je ne suis pas du coin ! Je ne peux pas vous renseigner ! > fis-je en quittant rapidement l'ascenseur. < Au revoir, mademoiselle, je descends au sous-sol, bonne fin d'après-midi.
> me fit-il en secouant son sexe dans ma direction. < Au revoir !> répondis-je en tournant rapidement les talons. Arrivée dehors, devant l'immeuble, marchant sur l'étroit chemin qui
menait à la rue, machinalement, je regardais vers le descente de la cave. J'essayais d'imaginer la psychologie d'un type qui descendait dans une cave avec son sexe à la main. Surtout après
l'avoir montré à une jeune fille. J'avais dix neuf ans...
Arrivée sur le trottoir de la rue, je m'arrêtais. Un intérêt et une légère excitation commençaient à s'éveiller en moi. Je passais rapidement les évènements vécus dans ma mémoire. Ce type était
descendu à la cave. Sa façon de me préciser qu'il y descendait n'était, en fait, qu'une sorte "d'invitation" à l'y rejoindre. Après un instant d'hésitation, ayant un peu de temps avant de me
rendre à la gare toute proche, je decidais de retourner dans l'immeuble. L'ascenseur arriva sur mon appel, montant du sous-sol, ses portes s'ouvrirent. J'y entrais et j'appuyais sur
"Sous-Sol"...
L'ascenseur s'arrêta et ses portes s'ouvrirent. J'étais dans un sous-sol propre, bien éclairé, silencieux. Les murs, fait de parpaings de béton, étaient aussi gris que le ciment du sol. Devant
moi, il y avait un couloir. Sur les côtés, nombre de portes en bois qui devaient êtres les entrées des caves individuelles. Soudain, sur la droite, d'une porte en fer, l'homme de l'ascenseur
apparut : < Eh bien, vous vous êtes trompée de bouton dans l'ascenseur ? > me demanda t-il en riant. Il agitait son sexe dans ma direction. Je restais là un peu stupide, ne sachant que
répondre.
< Là, c'est le local poubelles, je viens régulièrement y jeter des trucs dont je n'ai pas besoin. Vous voulez voir ? > me fit-il encore en m'invitant, d'un geste de la main, à le suivre. Je
m'approchais de la porte en fer ouverte. Je regardais à l'intérieur d'une petite pièce dans laquelle étaient disposées plusieurs grandes poubelles grises. L'inconnu se plaça entre deux de ces
poubelles et descendit son pantalon. < Je vous donne cinquante euros pour une pipe. Ca vous dit ? > me fit-il encore. J'étais consternée par l'aplomb et le culot de l'individu. Après un
instant de silence, vexée, je répondis : < Je ne suis pas une pute, je suis étudiante et je viens dans cet immeuble pour voir une copine. Vous vous trompez de personne ! >.
Le type se masturbait dans le silence. J'observais la scène avec curiosité. Je m'apprêtais à quitter les lieux, lorsqu'il me lança : < Vraiment, j'aimerais bien me faire sucer. Ca ne vous
tente pas un peu ? >. Je regardais cet individu, assez minable, son manteau ouvert, son pantalon sur les chevilles. L'homme me semblait pitoyable et me faisait presque pitié. < Vous n'avez
pas une femme pour vous faire ça ? > lui demandais-je naïvement. < Elle ne fait pas ! > me répondit-il, cambré sur ses jambes, le dos contre le mur en se masturbant énergiquement.
Excitée par la situation. Une fois encore, attirée par cette opportunité vicieuse, je me laissais aller à mon instinct. Je posais mon cartable sur le sol, devant le type. Je m'approchais pour
m'accroupir devant lui. Son sexe était propre et n'avait aucune odeur. Mon visage à une trentaine de centimètres de son membre, je le scrutais avec attention. Reniflant, tentant d'en savoir plus,
je m'approchais encore davantage. A l'extrêmité de son membre, perlait une goutte de liquide. Cette goutte ne tarda pas à tomber au sol après avoir coulé le long de la grosse veine.
L'inconnu, se cambrant encore un peu plus, approcha son sexe de mon visage. Je m'approchais pour le prendre en bouche. Les yeux fermés, soudain secouée de frissons, à la fois excitée et dégoûtée,
je suçais une nouvelle fois. Curieusement, le goût de ce nouveau sexe m'enivra rapidement. Chaque sexe d'homme a un goût différent. Mon attirance pour la fellation m'en a fait goûter de nombreux
spécimens. Celui-ci me laisse, encore aujourd'hui, un souvenir particulier. C'était le sperme d'un non-fumeur. Et il y a une différence notable, il faut le préciser. Je déteste la fumée !
Le liquide séminal arrivait en grande quantité dans un flot presque continu sous l'effet de ma suçion. Je tombais à genoux sur mon cartable. Je me régalais de cette substance. Chaque fellation me
passionne davantage. Là, je savourais à la fois le liquide et la situation. C'est comme si, située à l'extérieur de mon corps, je m'observais. J'étais là, à genoux, entrain de pomper. Cela
m'excitait au point que je sentais mon sexe devenir chaud. Je n'avais encore jamais été pénétrée par un homme. Là, pour la première fois, cela m'en donnait l'envie folle.
Je n'eu pas le temps de méditer davantage sur l'éventualité de faire l'amour, l'inconnu éjacula en trois saccades. J'ai toujours beaucoup de peine à déglutir la quantité de sperme que lâchent les
hommes que je suce. Cela semble toujours ne plus finir. Là encore, le flot semblait intarissable. J'avalais avec peine. J'ai une préférence pour le liquide séminal plutôt que pour le sperme.
Aussi, l'éjaculation me laisse toujours une sorte d'amertume en bouche. Encore présente quelques heures après.
L'inconnu se vida longuement. Toujours désireuse de ne pas en perdre la moindre goutte, je pompais avec force. L'homme, doucement, avec tendresse, me repoussa en soufflant fortement. Il remonta
son pantalon pendant que je me relevais. Je m'essuyais le menton et la bouche avec un mouchoir en papier. < C'était vraiment superbe, mademoiselle. Savez-vous que cela ne m'était plus arrivé
depuis plus de quinze ans ? > me fit-il en me déposant une bise sur le front. < Merci monsieur. C'était super pour moi aussi ! > répondis-je, plutôt amusée. < Cela vous tente de vous
arrêtez au quatrième étage, chez moi, lors de votre prochaine visite ? > me fit-il encore en me tendant sa carte de visite.
En sortant du local poubelles, je me tournais vers l'homme pour lui dire : < Je passe chez mon amie, mardi prochain. >. < Superbe ! Venez boire le café alors, d'accord ? > me fit-il,
la voix pleine de désir. < Peut-être bien, j'aime aussi le café ! > lui fis-je avant d'appuyer sur le bouton d'appel de l'ascenseur. Celui-ci arriva rapidement, sans doute stationné au
rez-de-chaussée. L'homme y entra avec moi et me fit : < Je m'appelle André, je vous souhaite une bonne soirée. >. < Enchantée, moi c'est Isabelle. > fis-je avant de partir. Je suis
toujours préssée de me retrouver seule après mes fellations "sauvages".
Je quittais l'immeuble, un peu émue par mon aventure. Je prenais un chewing-gum et, juste avant de la porter à la bouche je le remballais. je voulais garder le goût du sperme jusqu'au repas du
soir...
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L'inconnu de l'immeuble (Episode 2)
Visite chez l'inconnu de l'immeuble.
Une fois de plus, presque tout le week-end, le souvenir de l'inconnu de l'immeuble me venait souvent à l'esprit. Dans mes souvenirs, je ne pouvais m'empêcher de procéder à des comparaisons.
Comparant toutes ces opportunités où je m'étais déjà retrouvée dans des situations très particulières avec des types parfaitement inconnus. Des types dont, pour la plupart d'entre eux, j'aurais
pû être la fille. J'ai toujours été attirée par les hommes d'âge mûr. Mes expériences confortent mes certitudes.
Ce lundi après-midi, vers treize quarante cinq, avant de me rendre en cours, je téléphonais à André, l'inconnu de l'immeuble. Prête à prétendre que je m'étais trompée de numéro au cas où il y
aurait une voix féminine à l'autre bout du fil, j'attendais la fin des sonneries. Quelqu'un décrocha enfin. Je pouvais reconnaître la voix de l'inconnu. < Bonjour. Je passe demain après-midi,
mardi, pour quinze heure, ça va pour vous ? >. Il y eut un silence de quelques secondes, puis j'entendis André me répondre : < Bonjour ! C'est magnifique, je vous attends pour quinze heure.
>. < A demain donc, au revoir ! > fis-je avant de raccrocher.
Le mardi après-midi arriva enfin. J'arrivais avec le train. La gare était distante de ma destination d'environ cinq cent mètres. Dix minutes de marche rapide. Pour l'occasion, je m'étais vêtue
d'un pantalon noir à pinces, d'un pull à coll roulé, de mon manteau. Chaussée de souliers fermés à talons hauts, j'aimais me sentir féminine pour mes "expéditions" vicieuse. J'arrivais au
quatrième étage. Je sonnais chez André. L'homme vint m'ouvrir pour m'inviter à entrer dans son appartement. < Bonjour Isabelle. Je suis très charmé par votre visite. Venez, débarrassez-vous de
votre manteau. >. Je quittais mon manteau et m'installais sur le canapé. Je me sentais bien à l'aise.
L'intérieur de l'appartement était très sobre, propre. Les meubles très classiques et un parquet de chêne ciré achevaient de rendre les lieux très accueillants. Aux murs étaient accrochés des
reproductions de tableaux de maîtres Hollandais du XVII ème. Pas de doute, André avait un certain sens de la décoration. Par la baie vitrée du balcon, je pouvais voir les collines qui masquaient
l'horizon. Plusieurs plantes vertes, aux grandes feuilles vertes, achevaient de donner un cachet à cet intérieur très bien tenu. André vint me rejoindre avec un plateau sur lequel il y avait de
petites tasses, une cafetière fumante, du sucre et des petits gateaux.
Nous nous mîmes à bavarder. André semblait très curieux et très intéressé par mes études. Il me posait des questions précises sur le choix de la profession à laquelle je me déstinais. Il était en
congé pour cause de santé. Cadre d'une entreprise, il me parla un peu de ses fonctions de directeur financier. Au bout d'une demi-heure, l'homme évoqua ce qui s'était passé entre nous, dans la
cave de l'immeuble, la semaine précédente. Il semblait à la fois gêné et excité d'en parler. Je le rassurais en lui apprenant que j'avais passé un bon moment et que j'aimais beaucoup faire
"ça".
Cette affirmation éveilla sans doute la libido de l'homme. S'installant confortablement sur le canapé, écartant ses jambes, il me fit : < Aimeriez-vous vivre une expérience nouvelle dans le
cadre de ce que vous appréciez ? >. Il posa sa main sur sa braguette. < Je suis une fille assez curieuse. Expliquez-moi ! > fis-je en fixant volontairement sa main qui bougeait
doucement. < Voilà, je vous propose de tenter la "soumission". Vous auriez les mains attachées derrière le dos. Les chevilles entravées par une corde. Je me charge du "reste" ! > me fit-il
en chuchotant presque.
Je restais un long moment silencieuse. La proposition m'excitait considérablement. J'avais envie de me toucher en réfléchissant. Finalement, je m'entendis répondre : < Oui. Cela pourrait être
une expérience intéressante. Je n'ai jamais fait "ça" dans une telle situation. >. < Venez, levez-vous, installez-vous sur la chaise, là, au milieu de la pièce. > me fit-il en se levant
pour m'attendre devant la chaise. Je me levais. M'asseyant, je vis que l'homme avait ouvert un tiroir du buffet. Il en sortit quelques grosses cordes blanches. Je fus soudain envahie d'une
crainte. Dans quelle situation allais-je encore me fourrer...
André me fit asseoir a l'envers, avec le dossier devant moi. Forcée d'écarter mes jambes. Il se saisit de mes bras qu'il passa derrière mon dos. Il m'attacha solidement mais sans serrer mes
poignets. Il fit de même avec mes chevilles. Il attacha chacune d'elle à un pied de la chaise. Se saisissant de mes cheveux tressés, il les attacha à mes poignets. Il termina ce ficellage en
attachant mes poignets aux deux autres pieds de la chaise. J'étais envahie d'une certaine peur mêlée d'excitation. Il s'assit devant moi, sur le canapé et me regarda longuement. J'étais
terriblement gênée. Je me sentais vulnérable, humiliée, honteuse mais terriblement excitée. Je gardais les yeux baissés. Je ne pouvais pas incliner la tête vers l'avant à cause de la corde.
Au bout d'une bonne dizaine de minutes, il s'approcha de moi. Me saisissant par la tresse, il me forca à le fixer dans les yeux. Il resta ainsi quelques nouvelles minutes à m'observer en silence.
Je m'efforçais de soutenir son regard. Soudain, se penchant vers moi, il me cracha au visage. Cet acte me vexa quelque peu. < Salopard ! > lui fis-je. Je sentais sa salive me couler sur les
joues. Il recommenca à plusieurs reprises. Il retourna s'assoir sur le canapé pour m'observer. Fièrement, je soutenais son regard, dégoulinante de salive qu'il m'était impossible d'essuyer.
Il revint se poster devant moi. Ouvrant sa braguette, il sortit son sexe. Le pointant vers moi, il le passa longuement sur mon visage. Il me maintenait par la tresse. Il s'éloigna à faible
distance. Restant là, debout devant moi, pointant son sexe dans ma direction, il m'observait avec attention. Cette situation dura quelques nouvelles minutes. Soudain, un jet de pisse vint se
briser sur mon visage. Un jet vif et bref. André récidiva plusieurs fois. J'avais les cheveux, le visage et le haut de mon pull trempés. < Salopard ! > lui fis-je une nouvelle fois.
L'homme s'approcha. Me saisissant avec une certaine brusquerie par le menton, il m'enfonça son sexe dans la bouche. De son autre main, il me maintenait par la nuque. Il manqua de m'étouffer en
m'enfonçant la totalité de son membre. Je n'avais pas prévu cette éventualité, je manquais d'air. Je suffoquais en gémissant. Il me relâcha. Je me dégageais pour reprendre mon souffle. Il lâcha à
nouveau deux jets de pisse sur mon visage. Cette fois-ci, vigilante, devinant ce que ce type allait me faire, je respirais plusieurs fois, remplissant mes poumons d'air.
Il me repris par la tresse. Me forçant à ouvrir la bouche, il m'enfonça à nouveau son membre jusqu'à la gorge. Je pouvais sentir ses couilles balloter sur mon menton trempé. Il imprimait à son
bassin un mouvement masturbatoire. Je suçais. J'étais une fois encore entre le dégoût et l'excitation. Il cessa de bouger pour m'éjaculer au fond de la gorge. Il me maintenait toujours par la
nuque et le menton. Il se mit à pisser. Je n'en pouvais plus. Je sentais de la pisse me sortir par les narines. Avec un effort désespéré je me retirais de son étreinte pour vomir à côté de la
chaise. André, me saisissant par la tresse me mit une gifle avant de m'essuyer avec un mouchoir en papier.
Il alla s'asseoir sur le canapé pour m'observer à nouveau longuement. Je me sentais presque ridicule. J'avais envie de me lever de partir. < Quelles sont vos impressions, Isabelle ?
Désirez-vous cessez ou continuer ? Aimeriez-vous vous faire baiser ? > me demanda André. L'homme ne savait pas que je n'avais jamais été pénétrée. Aussi, je me gardais bien de le lui dire. Je
me contentais de répondre : < J'aimerais cesser s'il vous plaît ! > . Il se leva et vint me détacher. Il me proposa de prendre une douche et de me prêter des vêtements secs. Je préférais me
sêcher avec un sêche-cheveux et filer au plus vite. Il me mit sa salle de bain et les accessoires à disposition.
Lorsque je sortais de la salle de bain, André, assis sur le canapé me proposa un café. < Je vais être obligée de vous quitter, André, il me faut monter chez mon amie pour lui porter des cours.
> lui fis-je. < Si vous désirez revivre une nouvelle scéance, téléphonez-moi, je suis encore libre mardi prochain. > me répondit-il en me raccompagnant jusque devant l'ascenseur. Là,
juste avant que les portes ne se referment, en plein couloir, il sortit son sexe en disant : < Dis au revoir à Isabelle, elle revient sans doute bientôt ! >. Soulagée, je vis les portes se
refermer...
Sonnant chez mon amie, au septième étage, je lui remettais les documents sur le pas de la porte, sans entrer. Je prétextais de devoir partir immédiatement. Comme toujours, après une fellation
"sauvage", il me faut me retrouver seule et reprendre mes esprits. Et, cette fois-ci, cette fellation était vraiment sauvage. J'avais ce goût dans la bouche et je le garderais jusqu'au repas du
soir. Les soirées suivantes furent le théatre de nombreuses et longues masturbations. Cette première expérience de soumission volontaire m'avait enchantée au-delà du raisonnable. Dès le week-end,
je n'avais qu'un désir, me retrouver dans cette situation.
Renouveller l'expérience...
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