Mercredi 30 juillet 3 30 /07 /Juil 21:10

 

Exhibitioniste et vicieuse

Je suis une vraie exhibitioniste. Je précise "vraie" car je n'hésite pas à scénariser soigneusement mes exhibitions.
J'ai découvert que j'aimais ça lorsque j'étais toute jeune fille. Durant mes années lyçée déjà.
Je partais en bicyclette pour aller "explorer" des endroits particuliers qui pouvaient se prêter à mes désirs d'être "vue".
Des endroits où je pouvais "voir", car je suis, pour certaines situations, très voyeuse. Mais c'est un autre domaine.
J'avais ainsi établi une série d'endroits où je me rendais durant mon circuit habituel.

 
J'avais établi une règle immuable. Il fallait que, en cas de souci, je puisse filer le plus vite possible sur mon vélo de course.
J'ai toujours été très prudente. Aucun de mes actes n'était irréfléchi ou improvisé. Tout était méthodiquement élaboré.
J'ai compris très jeune que beaucoup d'hommes avait un sexe à la place du cerveau.
Ce qui pousse ces derniers à avoir des attitudes absurdes, relevant le plus souvent de la pulsion plutôt que la réflexion.


Une de mes "astuces" favorites, est de savoir qu'il y a un grillage ou une clôture entre moi et l'individu qui me "surprend".
La rivière ou le torrent, l'étang ou le mur, sont autant de "protections" que je sais mettre au service de mes exhib.
Longuement je mets au point l'exhib à laquelle je vais me livrer. Aujourd'hui, à 26 ans, je suis une grande "spécialiste".
J'ai toujours mes endroits idéaux. J'ai toujours un circuit habituel que je parcours en vélo en été, en voiture en hiver.
Je prends toujours les mêmes imparables précautions.


Un de mes "trucs" préférés, est de me frotter lentement sur la barre supérieure de mon vélo. De me faire surprendre ainsi, m'excite !
Aussi, je suis souvent en jupe. Mais le short clair est très bien aussi. Surtout lorsqu'il montre l'auréole humide entre mes cuisses.
Accroupie dans les fourrés, entre deux voitures ou encore au près des terrains de sports, est toujours source de plaisirs indiscibles.

Depuis deux ans que j'ai avoué mon vice à mon compagnon, doucement, il commence à entrer en complicité avec moi.
Il ne refuse plus de m'accompagner, de se cacher, afin de surveiller si tout se passe bien. Car c'est un grand gaillard athlétique.
Sa simple présence physique, n'importe où, est très dissuasive. Alors qu'il est le plus merveilleux des nounours.
L'exhib et le voyeurisme, ce n'est pas trop son "truc". Mais il fait son maximum afin que je trouve mon plaisir où j'aime le trouver.
De plus, de m'exhiber m'apporte tant de plaisir et d'excitation qu'il est le premier à pouvoir partager tout cela avec moi dans l'amour.


Je suis très vicieuse, je le revendique et cela participe à mon épanouissement de femme.
Le simple fait de l'avouer ici, est déjà, en quelque sorte, une exhibition. Sans risques...

J'invite donc le lecteur à découvrir les récits que je ne manquerais pas de poster, régulièrement, ici même dans mon Blog. Ces textes sont toujours mes créations exclusives.

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Mes expériences "d'actrice"

Très tôt, avec l'accord de mes parents, j'ai pratiqué le mannequinnat. Vers vingt ans, indépendante, durant les vacances, je participais à des défilés pour certaines marques connues. Ces manifestations se déroulaient le plus souvent dans des capitales Européennes. Je me déplaçais donc fréquemment à Londres, à Amsterdam, à Rome ou encore à Berlin. Tous frais très bien payés. Si ma passion n'avait pas été universitaire, j'aurais pû faire carrière dans l'univers de la mode. Cela assura très tôt mon indépendance financière. De quoi être fière.

Je posais également pour des catalogues. Nombre d'entre vous m'ont sans doute déjà vu sans même le savoir. Vêtue de manteaux, de jupes, de chemisiers ou encore de lingeries magnifiques, j'avais beaucoup de propositions. Je suis grande et attractive. C'est une garantie d'avoir tout le temps du travail dans ce milieu particulier. Même si l'ambiance entre les filles de cet univers est exécrable, parfois terrifiante, les gratifications sont conséquentes. Les conditions sont superbes...

C'est à Londres, après un défilé, lors d'une de ces soirées ou se retrouve le "gratin", que j'ai fait connaissance de monsieur "Jorgën". J'avais vingt deux ans. C'était il y a quatre ans. Monsieur "Jorgën" était le dirigeant d'une société de productions "cinématographiques". Monsieur "Jorgën" était donc toujours à la recherche de splendides jeunes filles intéressées par une carrière "d'actrices". De plus, les conditions de Monsieur "Jorgën" ne pouvaient pas laisser indifférentes ces mêmes filles splendides.

Après une nuit de réflexion, le lendemain, j'appellais Monsieur "Jorgën" à son hotel. De faire "l'actrice" dans une production de ce "genre", était un fantasme depuis l'adolescence. Nous avons donc conclu l'affaire avec un contrat très attractif et très gratifiant. Contrairement à ces légendes stupides, Monsieur "Jorgën" ne m'a pas proposé de "coucher". Jamais. Ayant prit connaissance, dans le détail, de ma "spécialité", Monsieur "Jorgën" m'a promis quelques grandes expériences "cinématographiques".

Quinze jours plus tard, je m'envolais, tous frais payés, pour l'Irlande. Là, je devais rejoindre l'équipe deux jours avant le début du tournage. Une grosse berline Allemande est venue me chercher à l'aéroport. J'étais conduite à l'hotel quatre étoiles où je serais hébergée durant la semaine de tournage. Des conditions de rêves dans un cadre de rêves. Je fis connaissance des douze personnes de l'équipe. Des gens d'une gentillesse excquise. Hypers professionnels. Maquilleuses, caméramens, éclairagistes, script-girls, etc...

Deux jours plus tard, nous nous rendions dans le chateau médiéval ou aurait lieu le tournage. Tout était en place. Un cadre superbe. Nous étions au mois d'août et la campagne Irlandaise était magnifiquement verdoyante. Les "actrices" qui tournaient avec moi étaient magnifiques. L'une d'entre elles est restée une amie. Elle exerce aujourd'hui dans le cabinet fiducière dont elle mêne les destinés à Long Island d'une poigne de fer. Les "acteurs", deux magnifiques athlètes "bodybuildés", étaient beaux comme des dieux grecs. Loin d'êtres les crétins qu'on peut imaginer ce sont des hommes dotés d'un cursus professsionnel impressionnant.

J'ai toujours cru que ce genre de "cinéma" était un milieu glauque peuplé de voyous et de pervers. C'est sans doute vrai pour ces productions minables où deux individus minables filment des scènes minables dans une chambre d'hotel minable, pour un cachet minable. Afin d'éviter ces expériences minables et pénibles, il suffit de contacter de grandes sociétés de productions internationales souvent basées en Californie. C'est la certitude d'être en compagnie de vrais professionnels. Dans des conditions paradisiaques. Entourée de toutes les garanties.

C'est le seul milieu où personne ne m'a jamais demandé de coucher avec qui que ce soit. Ma "spécialité" était sublimée par des prises de vues magnifiques, sur des plateaux de tournages d'excellences. Pour l'exhibitioniste que je suis, d'être vue, dirigée et mise en scène par une équipe, était l'absolu de tous mes fantasmes. Inoubliable. J'étais dirigée par une réalisatrice d'une gentillesse excquise. Des contrôles médicaux sont toujours réalisés vingt quatre heures avant les prises. C'est donc très sérieux. Et je ne "couche" pas...

J'ai participé ainsi à quelques superbes productions "hauts de gamme" qui m'ont toutes laissé d'inoubliables souvenirs. Quatre ans après, lorsque je vais regarder mes "performances" sur certains sites, que je sois en blonde, en brune ou encore en rousse, je suis envahie de délicieux frissons. Mon compagnon m'y trouve excquise et ne manque pas de m'en témoigner toute son admiration. Certaines et certains d'entre vous, sans même le savoir, m'avez vu sans doute vu dans des productions superbes. J'y excelle dans ma "spécialité"...


Isa

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Jeudi 31 juillet 4 31 /07 /Juil 08:41

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Ma première fellation

Je venais d'avoir dix huit ans, je me promenais sur un sentier qui longeait un petit cours d'eau.
Je connaissais bien cet endroit car j'y passais régulièrement à cheval. Un peu plus loin, l'étroit ruisseau venait irriguer un étang.
Il y avait quelques fois un ou deux pêcheurs, assis au bord de l'eau, surveillant leurs cannes à pêche, perchées au-dessus de l'onde.
Cet après-midi du début du mois d'octobre 2008, il faisait particulièrement beau. Je n'avais pas cours et je décidais de venir me promener en ce lieu très plaisant, silencieux et calme.

J'arrivais au bord de l'étang. Il n'y avait personne. Je marchais lentement, contournant les bosquets qui occultaient la vue sur l'ensemble du plan d'eau. Là, à une trentaine de mètres, il y avait un pêcheur, assis, que je n'avais pas aperçu en arrivant, dissimulé qu'il était, derrière quelques arbustes. C'était un homme d'environ soixante ans, plutôt petit et ventru. Lorsque j'arrivais à sa hauteur il me salua poliment. Je fis de même. J'avais toujours un livre dans ma musette et je choisis de m'installer sur l'herbe, un peu plus loin.

Je lisais depuis environ une demi heure. Mon attention attirée par des bruits, je levais les yeux pour apercevoir que le pêcheur était debout dans l'eau jusqu'à mi-cuisses, tenant fortement sa canne. Il devait avoir fait une prise. J'observais attentivement, amusée par ce combat entre l'homme et le poisson. C'était une belle carpe d'environ trente centimètres qui se débattait avec vigueur. Le pêcheur la saisit et la ramena sur le bord. Je repris ma lecture.

De temps à autre, je levais les yeux pour regarder autour de moi. Une fois de plus, mon attention fut attirée par le pêcheur. Ce dernier, le sexe à la main, à une vingtaine de mètres de moi, pissait d'un jet puissant. Voyant que je l'observais, il me fit un sourire. Je lui souriais à mon tour, très gênée et sans doute rougissante. Je baissais les yeux et faisait semblant de recommencer à lire. Il me lança : < Vous n'avez pas classe ? >. Je relevais les yeux pour le voir, me faisant face, tenant son sexe dans la main droite qu'il agitait malicieusement. J'avais le souffle coupé et je répondis : < Non, jamais le jeudi après quinze heure >.

Le pêcheur s'avança encore vers moi. Je m'apprêtais à me lever pour partir rapidement, lorqu'il me me fit encore : < On pourrai bavarder un peu, ça vous dit ? >. Je restais un moment silencieuse, baissant les yeux, les relevant, à plusieurs reprises. Le pêcheur continuait à agiter son sexe que je trouvais très petit, presque ridicule. En observant mieux, je me rassurais car ce sexe n'était pas du tout menaçant et l'homme aurait pû être mon grand-père. Je m'entendais répondre : < Oui, si vous voulez, on peut bavarder ! >.

Il vint s'assoir à quelques mètres de moi. Par la braguette ouverte de son pantalon de gros velour marron, pendait son petit sexe. Il me le montra en me demandant : < Ca ne vous dérange pas, au moins ? Je lui fais prendre l'air. Soyez rassuré, il ne bande que très rarement et est bien brave ! >. J'étais à la fois curieuse, amusée mais plus du tout inquiète. Je suis une fille grande et sportive. Je devais dépasser cet homme d'une bonne tête et je me sentais d'une plus grande force que lui. Même si je suis mince, je suis énergique.

Le pêcheur recommenca à se tripoter, tenant son sexe fripé entre le pouce et l'index. Tout en bavardant, il se masturbait doucement. J'observais avec attention tout en faisant semblant d'être indifférente. Il me parla de sa passion pour la pêche, de ses copains du club de pêche dont il faisait partie. Il me posait des questions sur mes études, croyant que j'étais encore lyçénne alors que j'en étais au début de ma première année de faculté. Au bout d'une dizaine de minutes, il me posa une question pertinente qui me choqua quelque peu : < Vous seriez tentée par une pipe ? >.

Je restais silencieuse, tentant de bien contrôler mes impressions et mes émotions. Je regardais le petit sexe du pêcheur. Cela faisait trois ou quatre ans que je fantasmais sur cet acte. Là, subitement, l'opportunité se présentait. Mais un vieux vicieux ! J'avais un reflexe mental de dégoût. Il me fit encore : < On peut se mettre là-bas, derrière la petite cabane. Vous verrez, on sera bien ! >. Le pêcheur, se mettant sur les genoux, me la présenta, tirant sur la peau fripée de son prépuce. Je m'entendis répondre : < Pourquoi pas ! >. Il se redressa complètement et me fit signe de le suivre.

Presque comme téléguidée par une volonté supérieure à la mienne, je suivais le pêcheur. Il m'entraîna derrière un cabanon. Là, debout devant moi, il me présenta à nouveau son petit sexe ridicule et tout fripé. L'homme m'arrivait aux épaules, il était bedonnant et toujours très calme et posé. Je m'accroupis devant le pêcheur. Longuement je regardais son sexe. Il avait pris appui contre une vieille table. Il me tendit son sexe en se cambrant davantage. Sa bite était à hauteur de mon visage. Soudain, il me la passa sur les lèvres, la frottant sur ma bouche. L'odeur était écoeurante. Curieusement, malgré l'odeur, j'étais très excitée. J'ouvris la bouche, il s'y enfonça lentement.

Je restais sans bouger. Doucement, je me mis à sucer. Presque immédiatement je pû goûter un liquide visqueux, amère, gluant que j'avais du mal à déglutir. J'étais à la fois ecoeurée, prise d'un profond dégoût, mais terriblement excitée. Je me mis à sucer plus fort et au rythme des montées de liquide séminale. Par moment, il y avait des montées de jus plus conséquentes. Je ne voulais pas en perdre une goutte mais cela me remplissait la bouche plus vite que je ne pouvais avaler. C'est là que je compris que j'avais affaire à l'incontinence du vieux. Je détournais la bouche, retirant son sexe. Effectivement, de longs filaments jaunâtres et gluants pendaient de l'extrémité de son sexe. C'était dégueulasse. Je voulais me redresser, mais le pêcheur me tenait par mes cheveux longs attachés en queue. Il se décalotta. Il y avait du fromage tout autour du gland, j'étais véritablement écoeurée. Tout me remontait. Ma bouche avait un goût dégueulasse.

Le pêcheur me remis sa queue dans la bouche, me tenant fermement par la nuque et les cheveux. Je n'avais d'autre choix que de sucer à nouveau. Il ne bandait pas, ou alors c'était imperçeptible. Curieusement, cela m'excita à nouveau et beaucoup plus fort qu'avant. J'aurais pû me masturber en même temps, tellement l'excitation, mêlée au dégoût, me titillait le sexe. Cela dura ainsi une bonne demi heure. Le vieux éjacula par saccades épaisses en gémissant. Je n'arrivais pas à avaler aussi vite que la matière visqueuse qui inondait ma bouche. Je me retirais en toussant. Puis, n'en pouvant plus, je me mis à vomir par spasmes. J'avais les yeux inondés de larmes. J'avais vomis de grandes quantités de liquide épais, gluant et jaunâtre sur l'herbe.

Je me redraissais péniblement. J'avais un léger vertige. Je venais de prendre conscience de ce que je venais de vivre. Le type me fit, d'un ton vicieux : < Alors ? Tu t'es régalée ? >. Je me réajustais sans dire un mot et m'éloignais rapidement sans parler. Avec un mouchoir en papier je nettoyais mon visage trempé. Mes cheveux me collaient sur les joues. Je me sentais souillée. Je me retournais pour regarder une dernière fois le pêcheur qui pissait dans ma direction en me faisant un signe amicale de la main. Je m'arrêtais, me retournant, lui faisant un signe de la mienne. Il cria dans ma direction : < Reviens jeudi prochain, si tu peux, tu en auras encore, je serais là ! >...

Je m'éloignais définitivement, pressée de trouver à boire et à manger pour faire disparaître ce goût dégueulasse qui envahissait toute ma personne. Je restais excitée jusqu'à ma masturbation du soir.
Les jours suivants, je pensais à cette aventure presque tout le temps. Au fur et à mesure que les jours passaient, les mauvaises impressions disparurent petit à petit. Laissant place au souvenir de l'intensité de la chose vécue.
Au bout de cinq ou six jours, je n'avais qu'une envie : recommencer...

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Samedi 2 août 6 02 /08 /Août 11:05

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 Ma seconde fellation


Toute cette semaine passa très vite. Pas une journée sans que je ne pense plusieurs fois à mon aventure du bord de l'étang.
Ce n'est que le mercredi soir que je pris la décision d'y retourner. Excitée par cette perspective, je passais une nuit un peu agitée.
Le jeudi après-midi arriva enfin. Vers treize heure trente, je prenais le chemin de l'étang avec ma bicyclette. Comme d'habitude, je laissais mon vélo au centre hyppique. Je préférais faire les deux kilomètres à pieds, désireuse de parcourir le magnifique chemin.

La météo était très favorable. Il ne faisait pas vraiment très beau mais le temps était doux et sec pour cette mi octobre.
Sur la pointe des pieds, j'arrivais au bord de l'étang. Longuement, cachée dans les fourrés, j'observais avec attention.
Je cherchais des yeux mon pêcheur. J'étais vêtue d'un jean, d'un léger pull et chaussée de "baskets". J'avais noué mes cheveux en queue. Avec la prudence d'une sioux, je m'avançais. Il était là, tranquillement installé sur sa chaise pliante, à bricoler l'une de ses cannes.

Je me mis à marcher lentement sur le sentier. A environ une cinquantaine de mètres, son attention attirée par ma présence, il tourna sa tête vers moi, me regardant arriver. Un étonnement se lisait sur les traits de son visage. Il me parût encore plus laid que la semaine dernière. Il se leva lourdement et me salua. Je m'arrêtais à sa hauteur. < Bonjour > me fit-il, en me faisant un signe amicale de la main. Je répondais à son bonjour en souriant. Très rapidement il me regarda avec un air un peu narquois en me disant : < Alors, tu viens prendre ton dessert ? >. Il se touchait sans arrêt, d'une façon assez vulgaire.

Je restais silencieuse. Il se mit à bavarder en m'expliquant sa façon d'amorcer ses appâts et de les accrocher à ses hameçons. Je regardais ce type, petit et moche et j'imaginais que j'avais déjà sucé sa queue. Je fus prise d'un léger vertige à la pensée de ce que j'étais venue faire ici. Mais, au fond de moi, j'éprouvais comme une fierté de m'être mise au défi de le refaire. Je m'étais assise dans l'herbe. Je regardais et j'écoutais cet homme me parler de sa passion pour la pêche. C'était presque surréaliste.

Au bout d'une dizaine de minutes, regardant autour de lui, il ouvrit sa braguette et sortit son sexe, toujours aussi ridiculement petit, mou et fripé. Je regardais avec attention, souriant sans doute comme une niaise. Il se la touchait tout en évoquant la pipe de la semaine dernière. Il prétendait que c'était une des toutes meilleures de sa vie ! < On retourne derrière la cabane ? Ca vous dit ? >, me lança t-il avec un clin d'oeil. Je m'entendais répondre < oui >, comme dans une sorte de délire auquel je n'avais nulle envie de me soustraire.

Il m'invita à le suivre. Comme la semaine passée, il m'entraîna derrière le vieux cabanon. Il se posa devant moi, s'appuyant sur la vieille table, la queue pendante. Je m'accroupie devant lui. Il me fit : < Tu es quand même une sacrée petite salope, tu sais ? >. Je regardais son sexe, affreux et mou. Une goutte vint rapidement perler au bout, dégoulinant sur la peau du prépuce. Je reniflais l'odeur de sa queue. Une puanteur aussi dégueulasse que la dernière fois. J'étais ecoeurée, c'était répugnant. Curieusement cela m'excita considérablement. Je ne comprenais pas cet étrange paradoxe entre l'excitation et le dégoût. Aujourd'hui, je sais...

Au bout d'un moment, comme je restais bêtement à genoux devant lui, l'homme me saisit doucement par mes cheveux attachés. De son autre main, il me passa son sexe sur le visage, insistant sur mes lèvres et mes joues. J'étais parcourue de frissons. Il agitait sa bite devant mon visage. Il se décalotta plusieurs fois. Je pouvais voir la pâte crêmeuse qui collait entre son gland et la peau de son prépuce. La puanteur était vraiment à la limite du supportable. Ce type avait une hygiène de porc.

Il finit par me l'enfoncer dans la bouche. Je le sentais se décalotter dans ma cavité buccale. Un goût acide se dégageait de la substance grumeleuse. Me maintenant par les cheveux, il se cambrait contre mon visage. Comme la première fois, son sexe restait mou. Je me mis à sucer. Presque immédiatement je pouvais déglutir du liquide séminale. Je savais qu'il lâchait des petites giclées de pisse, je commençais à comprendre, au goût, ce que ce vieux vicieux était entrain de faire. J'étais venue pour comprendre. A présent je comprenais bien. J'avais affaire à un vrai salop. Dans mon dégoût, j'appréciais le goût du liquide séminale, légèrement acide. Etranges sensations...

Très excitée, malgré mon intense dégoût, j'avais la bouche crêmeuse. Lors de certaines séquences, où il devait se "lâcher", j'avais du mal à déglutir assez rapidement. En luttant contre sa poigne, je retirais ma bouche pour laisser s'écouler le trop plein, en toussant. De longs filaments jaunâtres coulaient de ma bouche jusqu'au sol. J'avais des vertiges et des suées, c'était dégueulasse. Je sentais mon envie de vomir qui devenait de plus en plus forte. < Je vais te faire bouffer de la bite, petite salope, tu vas en redemander ! > me fit-il en me saisissant fermement par les oreilles.

A présent, me maintenant par les oreilles, il se masturbait dans ma bouche, en bougeant son bassin de manière régulière.
J'étais écoeurée. Ecoeurée par son comportement, écoeurée par son incontinence, écoeurée par ce que j'étais entrain de vivre. J'étais entrain de me faire insulter par un type que je suçais !
C'est au moment ou mon excitation disparaissait pour faire place à une certaine colère, qu'il éjacula en plusieurs saccades au fond de ma bouche. Il me maintenait toujours. Il me força à tout avaler. Son sperme était amère et épais. Tout le long de cette nouvelle fellation, j'avais éprouvé beaucoup de peine à déglutir son foutre épais et gluant. Cela collait dans toute ma bouche. J'étais à nouveau très excitée.

Avec peine, je me retirais de son étreinte pour me relever, prête à m'enfuir si le pêcheur voulait m'attrapper à nouveau.
Il se mit à pisser en me disant : < Tu vois, je t'ai pas tout pissé dans la gueule ! Il en reste encore ! >. Ce vieux vicelard m'aurait pissé dessus si je ne m'étais pas reculée. A reculons, je m'éloignais doucement. Comme la dernière fois, je me mis à marcher rapidement. J'étais déjà à une centaine de mètres lorsque le vieux salop me lança ; < Reviens la semaine prochaine, s'il pleut on va dans la cabane ! >.

Je me retournais pour le voir se réajuster. J'étais arrivée à l'orée de la forêt, marchant très vite, lorsqu'il me cria : < Merci, c'était super ! Salut ! > Je me retournais, il me fit un signe de la main droite, se touchant le sexe de la main gauche. Je lui fis un signe de la main levée, avant de disparaître pour retourner au centre hyppique. Au bout d'environ cinq minutes, je fus prise de nausées. Penchée au-dessus d'un petit arbuste, je me mis à vomir par spasmes désagréables. Lorsque j'avais réussi à dégueuler tout cet immonde mélange, je pris un chewing-gum dans ma poche pour soulager le goût écoeurant qui y restait. J'avais le haut du pull maculé de foutre.

Je rentrais avec mes certitudes. Les deux premières pipes de ma vie furent réellement de très grandes expériences...

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Samedi 16 août 6 16 /08 /Août 14:17

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Ma troisième fellation

 

Ce mardi après-midi était pluvieux. Il était quinze heure. Un ciel bas, gris et lourd semblait peser sur toutes choses. Empruntant la petite voiture de ma mère, je m'étais rendue dans la ville voisine. Il me fallait faire quelques achats en rapports avec mes études. Je garais le véhicule au fond d'un petit parking, au fond d'une rue sans issue. Cet endroit, non payant, situé à proximité du centre, était bien pratique et peu connu.

Je longeais les maisons grises, marchant sur un trottoir étroit. Sous mon parapluie, j'étais à l'abri de l'eau mais pas de la fraîcheur de ce mois d'avril. J'avançais vite, pressée d'arriver au centre commercial où je ferais mes achats. J'arrivais au bout de la rue lorsque mon attention fut attirée par du mouvement, sur ma droite. Là, au fond du couloir sombre d'une porte cochère ouverte, je distinguais la silhouette d'un homme qui me hêla.

Je m'arrêtais pour lui faire : < Pardon ? >. C'est là, en regardant plus attentivement, que je pû me rendre compte que l'homme se masturbait. < Vous pouvez me renseigner ? > fit-il en se rapprochant. < Je cherche le numéro 5 de la rue, le Dermatologue ! > continua t-il encore en accélérant son mouvement masturbatoire.

Je détournais le regard et juste avant de reprendre mon chemin, je répondais : < excusez-moi, monsieur, mais je ne suis pas d'ici, au revoir ! > En tournant les talons, reprenant ma marche rapide, je l'entendis prononcer des mots sans les comprendre. Au bout d'une trentaine de mètres, je me retrouvais dans une rue plus animée. Plus sécurisante.

Après avoir fait mes achats, je décidais de faire un tour dans les rues piétonnes du centre de la ville. Toujours à l'abri, sous mon parapluie, je regardais les vitrines des magasins. La fraîcheur n'incitait pas à la flânerie. Aussi, vers dix sept heure, je décidais de revenir à la voiture. Je reprenais donc le chemin du retour.

J'arrivais dans l'impasse au fond de laquelle j'avais garé la voiture. En passant devant la porte cochère, je regardais sur ma gauche. A présent, les battants étaient fermés. Je marchais rapidement jusqu'à mon automobile. Après avoir ouvert la portière, secoué mon parapluie, déposé mes deux sachets sur le siège arrière, je m'installais au volant. Je restais un instant à chercher un mouchoir en papier dans la poche de mon imperméable.

C'est là que, passant entre les deux voitures, un homme vint se mettre contre le mur, juste devant mon auto. Il se mit à pisser. Terriblement gênée, préférant ne pas me manifester, je restais immobile sans démarrer le moteur. Par acquis de conscience, je verrouillais ma portière en descendant le capuchon. Au bout de deux ou trois minutes, le quidam se retourna de trois quart. Je pouvais voir son sexe qui pendait de sa braguette. C'est là que je compris que c'était le type de la porte cochère et qu'il s'exhibait discrètement. M'avait-il repérée ? M'avait-il attendue ?

Il me regarda et me fit un charmant sourire. Il devait avoir quarante cinq ou cinquante ans. Vêtu d'un manteau noir sur un pantalon gris. Des cheveux plutôt longs. Un visage fin et des yeux bleus. Propre. Bêtement, ne sachant que faire, décontenancée, je lui souriais à mon tour tout en baissant immédiatement les yeux. L'individu, le sexe à l'air se dirigea vers l'entrée d'un parking souterrain qui descendait sur la droite.

Je regardais vers l'entrée, prête à démarrer ma voiture. Là, l'homme, debout derrière le coin du mur, me fit signe de la main. Je vis son index qui m'invitait à le rejoindre. De sa main libre, il agitait doucement son sexe dans ma direction. Cette situation vicieuse m'excita légèrement. Je sentais bien, au fond de moi que, si je ne partais pas de suite, je risquais de sortir du véhicule. Je suis d'une nature curieuse...

Je restais ainsi, quelques minutes à regarder les agissements du type. Le lieu était désert. En scrutant dans les rétroviseurs, je pouvais me rendre compte qu'il n'y avait que l'exhibitioniste et moi. Laissant agir mes instincts de vicieuse, surmontant mes appréhensions, je sortais de mon automobile et fermais la portière à cléfs. La pluie redoublait. Comme hypnotisée, je rejoignais l'homme. Me faisant signe de le suivre, nous descendîmes vers le sous-sol quelques dix mètres plus bas.

Dans la pénombre, l'homme qui semblait bien connaître les lieux, entra dans un des box vides. Se mettant debout devant moi, toujours d'un geste de la main, me montrant tout à tour son sexe et le sol, de son index, il m'invita à m'accroupir devant lui. C'est du moins ainsi que je compris son invitation. Je regardais autour de moi, l'endroit, même s'il était désert, n'était pas vraiment discret. A tous moments pouvait descendre une voiture.

M'accroupissant devant le type, son sexe devant le visage, je regardais avec attention. C'était un cylindre de chair molle qui me faisait penser à une de ces saucisses destinées aux grillades. Au bout d'un court moment, m'approchant encore, je reniflais la chose. L'odeur était plutôt forte. S'avançant légèrement, l'homme me la passa sur les lèvres et la bouche. Cela m'excita vraiment.

Ouvrant la bouche, j'avalais son sexe. Le goût, une fois de plus, me semblait âcre, presque amer. Je me mis à sucer. Presque immédiatement m'arrivait le liquide séminal en flux continu. L'excitation que devaient lui procurer ces agissements d'exhibitioniste, avait dû remplir ses couilles de foutre. Cette nouvelle expérience, avec un nouvel inconnu, me fit prendre conscience de mes penchants. J'aimais "ça" ! Par contre, une fois de plus, c'était un sexe qui restait mou. Aucune érection pour m'étonner quelque peu, comme le fait mon copain aujourd'hui.

Je suçais depuis une bonne dizaine de minutes. Ce type était réellement juteux. Par instants, j'avais de la peine à déglutir tellement les sécrétions étaient fournies. Par trois saccades, l'éjaculation m'emplie la bouche. J'avalais avec peine la grande quantité de sperme. J'appréciais vraiment ce nouvel épisode de ma découverte de la fellation. Je me redressais et réajustais mes longs cheveux. L'inconnu me déposa une bise sur le front. Je trouvais cela charmant.

Enfin le type prononça quelques mots. < Je ne te devinais pas aussi salope ma belle ! > fit-il assez vulgairement. < Tu reviens un de ces jours pour une autre pipe ? > me lança t-il en me prenant le bras pour m'entraîner vers la sortie. < Tu es tentée ? > rajouta t-il avant que je ne puisse répondre aux arguments précédents. Arrivée en haut, sur le parking où j'avais la voiture, je m'entendis dire : < Peut-être, je viens de temps en temps garer l'auto ici ! >...

C'est là qu'il ferma enfin sa braguette et me proposa le mardi prochain, même heure et même endroit. Me dépêchant de retourner à ma voiture, avant de m'assoir et de fermer la portière, je fis : < Peut-être, on verra ! >. Je fis démarrer le moteur, je fis les manoeuvres nécessaires, et, accélérant, je me retrouvais à rouler, presque soulagée. Le goût du liquide séminal ajouté au goût amer du sperme du type, m'obligèrent à me saisir d'un des chewing-gum que laissait ma mère dans le vide-poche. Toujours ce goût dégoûtant qui m'excitait terriblement...

Sur le chemin du retour, je pensais à ce qui m'était arrivé et à la situation que je venais de vivre. Prenant également subitement conscience de ma folle témérité. Conscience de mon... inconscience !

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Ma quatrième fellation

Les jours suivants, je pensais souvent à cette nouvelle expérience. Cette nouvelle expérience avec cet inconnu, dans le parking souterrain. C'est donc le dimanche après-midi, en me promenant à cheval, que je pris la décision de retourner en ville, mardi pour quatorze heure.
J'empruntais à nouveau la voiture de ma mère. Je m'assurais de la présence des chewing-gum dans la boîte à gants. J'avais mes mouchoirs en papiers. J'étais donc équipée.

Ce mardi après-midi était maussade. Un ciel bas et triste donnait une ambiance sinistre à toute chose. J'étais vêtue d'une jupe, d'un pull et des collants bien chauds me protégeaient de la désagréable fraîcheur qui régnait. Des souliers à légers talons me permettraient de marcher vite, voire de courir si le besoin s'en ferait sentir. Sur mes vêtements, j'avais mon imperméable beige.

Je garais la voiture sur le même parking que le mardi précédent. Presque au même endroit. Plus près encore de la descente vers le souterrain. Je restais ainsi, assise dans la voiture, les sens aux aguets. Par prudence, j'avais verouillé les portières de l'intérieur. Il était quinze heure, il n'y avait pas le moindre mouvement, personne.

Au bout d'une dizaine de minutes, le type de la dernière fois arriva. Je le vis marcher en regardant dans le rétroviseur intérieur. Il ne m'avait pas repéré. Il ne se doutait sans doute pas de ma présence ici. L'individu alla se placer derrière les bosquets, le long d'un vieux mur, sur la gauche. Je ne pouvais pas distinguer ce qu'il faisait. Par moment, toutes les deux ou trois minutes, je voyais sa tête jaillir dans un trou du feuillage. Il observait attentivement l'accès au parking. Je me trouvais garée derrière deux autres voitures, il ne m'avait donc pas encore vu.

La situation commençait à m'exciter. J'observais les agissements du type avec beaucoup d'attention. Au bout de cinq minutes, l'homme s'avança un peu plus. Vêtu d'un pantalon noir, d'un pull noir, portant un caban noir, il se confondait presque parfaitement à l'environnement où il se dissimulait. Là, à moitié hors de sa cachette, je pouvais constater que, de sa braguette ouverte, pendait son sexe. Ce sexe que j'avais sucé la semaine dernière. J'eu soudain un frisson de dégoût.

Rapidement, l'homme retourna dans sa cachette. Je me doutais à présent de ce qu'il faisait. Pas de doute, c'était un exhibitioniste, un vrai. Considérablement excitée par ce mélange de dégoût et de curiosité, je sortais de la voiture en faisant semblant de rien. Il dût m'apercevoir immédiatement car, en fermant la portière à clef, j'entendis soudain derrière moi : < Super ! Tu es revenue ! >.
Je me retournais. Le vicelard était debout entre la voiture et le mur, se touchant le sexe. Je fis simplement < Bonjour ! >. Faisant mine de vouloir quitter le lieu, je me mis à marcher en lui tournant le dos. D'une voix hésitante, il me fit : < Tu veux pas sucer un peu, avant de filer ? >. Je m'arrêtais et me retournais. Je regardais le sexe qu'il tenait entre son pouce et son index. Il rajouta : < T'as pas envie de descendre comme l'autre fois ? >.

Je restais silencieuse en observant le visage de ce salopard. Il était plutôt quelquonque. Un regard vicieux et sournois. Au bout d'un petit moment, juste au moment où arrivait une voiture, je lui répondais : < Pourquoi pas ! Mais pas longtemps, j'ai un rendez-vous avec mon copain qui arrive dans un petit moment ! >.

Il me fit signe de le suivre. Nous dévalions à pas rapides les quelques trentes mètres de la descente vers le parking souterrain. J'étais follement impatiente de sucer. Là, arrivé dans l'obscurité du même box que mardi dernier, il se tourna vers moi, se cambra sur ses jambes et me fit : < Viens faire ta pipe, petite salope ! >. Avec le plaisir fou qui m'envahissait malgré moi, je me suis accroupie devant le vicelard. L'odeur de son sexe était aussi forte que la fois précédente. Il me le passa sur le visage, les joues, insistant sur mes lèvres. Puis, me saisissant par les cheveux que j'avais laissé pendre, il me fourra sa queue dans la bouche. J'étais abasourdie et si contente.

Avec un mouvement de va et viens, il se masturbait dans ma cavité buccale. Il me maintenait fermement à chaque fois qu'il cessait de bouger. De grandes quantités de liquide séminale envahissaient ma bouche. J'avais peine à déglutir tout ce foutre gluant. J'étais à la fois dégoûtée, presque horrifiée de ce que j'étais entrain de faire, de subir. Mais, curieusement, comme à chaque fois, j'étais également très excitée. Ma nature profonde de vicieuse trouvait là toute sa dimension, tout son enchantement.

Au bout d'une dizaine de minutes, l'homme lâcha son jet de sperme en trois saccades incroyablement abondantes. Il me lâcha les cheveux. Je déglutissais avec effort et passion. C'était à la fois tellement dégoûtant et tellement excitant que j'étais parcourue de frissons. Je gardais son sexe en bouche dans le secret espoir qu'il m'offrirait une nouvelle scéance, une nouvelle giclée. Hélas, il se retira et se réajusta pendant que je me relevais, mes jambes flageolantes. < T'es une superbe pipeuse, bravo, tu m'as super vidé les couilles ! > me fit-il avec une vulgarité inutile que je trouvais parfaitement déplacée.

Mes jambes débarassées des fourmis qui les engourdissaient, rapidement, je remontais la pente qui menait au parking extérieur. < Tu reviens mardi prochain ? > me fit l'homme derrière moi. Je me retournais pour constater que le type se tripotait toujours encore. Il me fit un sourire vicelard et un signe de la main devant sa bouche qui mimait une fellation. De sa langue il faisait une bosse à l'intérieur de sa joue. Sans répondre, je me dépêchais de retourner à la voiture. Rapidement j'ouvrais la portière, m'installais, démarrais et quittait les lieux.

Dans le rétroviseur, juste avant de quitter le parking, je vis le type qui me faisais un signe d'adieu de la main. Je sortais la mienne pour lui rendre sa politesse. Une fois de plus, je me retrouvais avec ce goût particulier dans la bouche. Plutôt que de prendre un chewing-gum, je dégustais longuement cette saveur dégueulasse. Je savais à présent que j'appréciais ces situations. Je suis vicieuse depuis longtemps. Je me complais dans les séquences vicieuses que je m'offre ainsi, parfois, avec de parfaits inconnus. Ma témérité m'effraie.

Arrivée chez moi, je me dépêchais de monter dans ma chambre afin de me masturber. Me masturber longuement, comme une démente, avec ces souvenirs encore tous frais...

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Le début d'une longue série

 

Une de mes exhibitions inoubliables

Ce matin de la fin juin, déjà en vacances de ma première année à l'université, j'étais allé faire de la bicyclette sur la piste cyclable qui longe le vieux canal. Il faisait merveilleusement beau et chaud. Il devait être neuf heure. J'aime aller dans la nature lorsque les beaux jours le permettent. Je me promenais, pédalant doucement mais régulièrement sur mon vélo de course. J'avais déjà parcouru une bonne dizaine de kilomètres. Je croisais déjà, malgré l'heure plutôt matinale, nombre de cyclistes qui profitaient, comme moi, de cet agréable début de journée.

Je décidais de m'arrêter près de la grande écluse afin de regarder les manoeuvres que s'apprêtaient à faire deux bateaux. Depuis longtemps, le vieux canal ne faisait plus flotter de grosses péniches. Cela faisait partie d'un passé déjà lointain. Non, les bateaux qui franchissaient les écluses étaient propriétés de plaisanciers, souvent retraités et toujours dilettantes. De beaux bateaux, aux noms variés, hollandais le plus souvent, allemands et parfois français, circulaient sur les eaux calmes du vieux canal. Des employés des Voies-Naviguables-de-France, (VNF), actionnaient les énormes battants afin de réguler les surfaces de l'eau entre deux tronçons.

J'étais assise sur un rocher, près de l'eau, entre deux grands bosquets d'arbres. Il n'y avait pas le moindre souffle de vent. J'étais vêtue de ma robe préférée. Une robe beige, à motifs floraux, serrée à la taille par une ceinture de toile. J'étais chaussée de "baskets". Aussi, comme j'aime à le faire, lorsque je suis seule, je remontais le tissus de ma robe afin de mettre mes cuisses au soleil. La douceur du soleil était particulièrement agréable. Je restais ainsi, la tête penchée en arrière, les yeux fermés écoutant le bruit de l'eau qui emplissait l'énorme réservoir de l'écluse.

Soudain, comme avertie par mon sixième sens, très developpé, j'ouvrais les yeux pour regarder devant moi. Là, entre deux fourrés, de l'autre côté du canal, il y avait un homme qui me regardait. Personne ne pouvait le voir sauf moi. Il était vêtu d'un pantalon brun, d'un T-shirt carmin, chaussé de gros souliers de marche. A ses côtés, au sol, était posé un gros sac à dos. L'homme devait avoir environ quarante ans. Sans doute un promeneur qui randonnait là. Il se tenait à environ vingt mètres de l'endroit où j'étais assise. Je pouvais constater qu'il n'avait rien du "routard" ou du vagabond. Ses vêtements semblaient neufs et propres.

Il me fit un signe de la main et un signe de tête. Je baissais ma robe en lui souriant et en répondant à son signe par un mouvement de la main. Tout comme moi, l'homme devait attendre de voir passer les bateaux dans l'écluse. Nous pouvions entendre le bruit des moteurs tournant au ralenti. J'évitais de trop regarder dans sa direction. Je restais les yeux baissés à caresser mes longs cheveux. C'est en relevant la tête pour la troisième fois que je pouvais voir l'inconnu, debout, entrain de mimer, de la main droite, une masturbation masculine. Il me souriait tout en faisant ce mouvement caractéristique, régulier et lent. Gênée, je baissais les yeux à nouveau après lui avoir envoyé, un peu malgré moi, un sourire.

La situation ne manquait pas de susciter, chez moi, une confusion troublante. Entre la gêne et l'excitation. Je relevais la tête pour regarder dans la direction de l'homme. A présent, les mains sur les hanches, debout, solidement campé sur ses jambes, il me présentait son sexe dressé, en érection, par sa braguette ouverte. Il faisait bouger son sexe de façon régulière sans le toucher. Je ne pouvais m'empêcher de trouver cela superbe. Je regardais son visage. Il n'était pas vraiment beau, des lunettes sur un nez rond, des cheveux mi-longs, grisonnants sur les tempes. Un petit ventre qui déformait son T-shirt. Je baissais à nouveau les yeux, terriblement troublée.

Au bout de quelques instants, je relevais la tête. Il avait baissé son pantalon et se masturbait tout en me souriant. Je sentais battre mon coeur de plus en plus fort. Ou bien je quittais les lieux, ou bien j'entrais dans le jeu de l'exhibitioniste. Je regardais longuement avant de décider de saisir cette opportunité de m'amuser un peu. De l'index de la main gauche, il me fit signe de le rejoindre. De la main droite il mimait une pipe en gonflant sa joue avec sa langue. Cela acheva de m'exciter. Voilà une occasion de tailler une pipe à un inconnu qui se présentait une nouvelle fois à moi. Avec cette matinée radieuse, une fellation serait un peu la cerise sur le gateau. Depuis l'aventure du pêcheur, puis de l'inconnu du parking, j'aime tant sucer.

Me sachant hors d'atteinte, de l'autre côté de l'écluse, j'écartais mes cuisses. Je descendais ma culotte et je commençais à me toucher. Je suis une vraie exhibitioniste et des situations comme celles-ci sont biens trop rares pour que je n'en profite pas. L'homme devait être à la limite de l'apoplexie. En effet, son mouvement masturbatoire s'accéléra. Il se cambra sur ses jambes. La bouche ouverte, les yeux écarquillés, il me contemplait comme un dément. Je me levais de mon rocher. M'accroupissant devant le rocher, la culotte aux genoux, j'essayais de pisser. Avec l'excitation considérable, il me fallait me concentrer. Je restais ainsi, les yeux fermés, m'imaginant les pieds dans l'eau froide. En général cela me fait pisser. Soudain, je sentis venir le jet. Je me cambrais en avant afin de lancer le jet le plus loin possible devant moi. Cette position, hautement vicelarde, est une de mes préférées.

J'ouvris les yeux pour regarder l'inconnu. Il était tombé à genoux et me regardait comme si j'étais une extra-terrestre. Je pissais comme une démente. Cela me procura un plaisir fou. Soudain, là, sur ma droite, arriva un employé des VNF. < Eh bien mademoiselle, ça va ? > me fit-il. Je vivais là un instant fou. Cela me pétrifia de jouissance. Mon coeur, dans ma poitrine, fit un bond incroyable. Je terminais de pisser devant les deux types dans un plaisir démentiel. Prenant soudain conscience du surréalisme de l'instant, je me redressais, je remontais ma culotte en disant : < Oh pardon, excusez-moi, mais c'était urgent ! Mille pardons. >. Prenant mon vélo, rapidement je retournais sur la piste cyclable. A présent, le premier bateau commençait à avancer dans le sas. Je restais à admirer ce beau spectacle. Le type de l'écluse me regardait avec un sourire vicieux. Par contre, l'exhibitioniste avait disparu. De continuer à rester ainsi, sous le regard insistant, des inconnus qui m'ont "surprise", est le vrai plaisir que je recherche. C'est un peu le "bonus" que j'apprécie le plus. Cela me gêne, m'envahi de honte et me fait trembler de plaisir. Il me faudrait rapidement trouver une cachette pour me masturber.

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Ma première pipe dans un parc


Cet après-midi de juin, je m'étais rendue dans un petit parc où j'aimais à flâner un peu. J'aimais tout particulièrement m'assoir sur un banc et lire. Il m'arrivait régulièrement, aux premiers beaux jours, de venir réviser là, dans le calme et la verdure.
A cette époque, j'étais encore étudiante. J'aimais l'ambiance de ce parc agencé à l'ancienne et à la "Française". Les frondaisons offraient d'agréables endroits où s'isoler. C'est là, près de la fontaine murale, que j'appréciais ces moments de quiétude.

Ce jour-là, premier jour des vacances de cette seconde année de faculté, je m'installais donc ici, sur mon banc, isolée, à l'abri des regards. Ce banc de bois, à côté de cette magnifique tête de lion, sculptée, qui laissait couler le flux continu d'une eau claire et potable. J'avais avec moi ce livre de Gustave Flaubert, "l'éducation sentimentale".

J'étais plongée dans ma lecture depuis une dizaine de minutes. Le gazouillis des oiseaux étaient la seule distraction sonore, lorsque soudain, là, dans les fourrés, devant moi, à environ dix mètres, il y eut une série de bruits de feuillages. Je relevais mes yeux de ma lecture pour observer l'agitation des feuilles.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir la silhouette d'un homme derrière les fourrés. M'observait-il ? Que faisait-il derrière ces bosquets où ne passaient aucun chemin ? Je concentrais mon attention sur l'étrange manifestation. Cela dura quelques minutes. Je ne pouvais aperçevoir que cette silhouette qui se dessinait derrière le feuillage.

J'étais vêtue d'une jupe bleue marine, d'un chemisier beige et chaussée de mocassins à légers talons. Sur mes épaules, j'avais déposé négligemment un pull, d'un bleu ciel fait d'une fine laine. Mes longs cheveux chatains étaient attachés en une longue tresse qui pendait dans mon dos. J'avais donc toute lattitude de me sauver rapidement en cas de soucis.

J'observais avec soin devant moi. Soudain, l'inconnu s'avança davantage. Là, je pouvais constater qu'il se masturbait. La braguette de son pantalon ouverte, il se touchait le sexe. Un sexe qui semblait long et fin. J'avais deux options. Ou je me levais et quittais les lieux. Ou, comme j'aime à le faire, je continuais mon voyeurisme.

Les choses cessèrent aussi subitement qu'elles avaient commencé. L'inconnu était partit ou, en tous cas, avait cessé de manifester sa présence. Je scrutais longuement les branchages. Il ne s'y passait plus rien. Au bout de quelques minutes, je repris ma lecture. L'homme, sans doute dérangé par une raison inconnue, s'était en allé.

Je lisais à nouveau depuis cinq minutes lorsque mon attention fut attirée par la présence d'un promeneur. Un homme s'avançait d'un pas léger dans l'étroite allée qui menait à ma "cachette". Il vint s'assoir sur le banc voisin. Ce banc, situé à une dizaine de mètres, était à demi masqué par un bosquet. Etait-ce mon exhibitioniste de tout à l'heure ? Je ne pouvais pas en être certaine. Toujours est-il qu'il déplia un journal. Après m'avoir salué, il se plongea dans sa lecture sans me prêter la moindre autre attention.

Moi aussi, j'avais repris ma lecture. Même si mon livre était loin d'être passionnant, sa lecture était nécessaire dans le cadre des mes études. J'en avais repoussé la découverte le plus longtemps possible. Gustave Flaubert n'étant pas un de mes auteurs préférés. J'étais ainsi, à lire, concentrée, un long moment. Parfois, je relevais les yeux pour regarder machinalement autour de moi.

Cette fois-ci, en relevant les yeux, je découvris que l'inconnu, assis, se touchait le sexe. C'était donc bien le type des fourrés qui était venu s'exhiber près de moi. Je pouvais voir son sexe qu'il tenait à sa base, entre le pouce et l'index. Je constatais également que, derrière ses lunettes de soleil, il louchait dans ma direction. Sans doute pour observer mes réactions.

Je fis semblant de reprendre ma lecture. J'étais profondément troublée. Troublée mais curieusement heureuse d'être confrontée à cette situation. L'individu devait avoir la quarantaine. Un peu dégarni, maigre, le teint mat, il faisait un peu "employé de bureau" vieux style. Comme sorti d'un film en "noir et blanc" des années cinquante. Je louchais dans sa direction pour ne rien perdre de ce qu'il faisait.

Au bout de cinq minutes de ce petit jeu, je relevais la tête et je regardais franchement dans la direction de l'exhibitioniste. Je fixais son sexe en souriant. L'inconnu pouvait ainsi découvrir mon intérêt pour son attitude. Cela m'excita considérablement. Il me fit un sourire et inclina son sexe dans ma direction en l'agitant légèrement. Je lui fis un large sourire pour le remercier de son "attention". Un délicieux frisson parcouru, en même temps, tout mon corps.

Nous étions à nous observer depuis quelques minutes. L'homme continuait à secouer lentement son sexe dans ma direction. Il continuait à le tenir à sa base, entre le pouce et l'index. Je souriais sans doute niaisement devant ce "spectacle", mais je ne pouvais plus en détourner mon regard. J'avais fermé mon livre et je l'avais posé à mes côtés. J'avais une forte envie de me toucher qui commençait à poindre. Je restais toutefois réservée et immobile.

Au bout de quelques nouvelles minutes, l'inconnu m'adressa enfin la parole. < Le spectacle vous plaît-il, mademoiselle ? > me fit-il avec un fort accent allemand. Un peu stupide, je haussais les épaules avant d'avoir une réponse toute aussi stupide : < C'est amusant ! >. Il se leva et vint s'assoir à mes côtés. Après un bref instant de craintes, je me poussais à l'extrêmité de mon banc. Je regardais ce type, la braguette ouverte, son sexe dressé, avec une certaine consternation.

L'homme continuait à se tenir le sexe à sa base. Par mouvements réguliers il l'inclinait dans ma direction en l'agitant. < Ca vous dirait de le goûter ? > me fit-il, au bout de cinq minutes, en me fixant par dessus ses lunettes.
Je le regardais attentivement. Il n'était pas vraiment séduisant. De la sueur perlait sur son front, son nez et sur ses joues creuses. Petit, il devait m'arriver aux épaules. Je regardais son sexe avec une plus grande attention encore.

L'extrêmité était mouillée. Un liquide épais et limpide s'en échappait pour couler jusque sur les doigts du type. Il se décalotta soudain, tout en agitant son membre. Le gland violacé était maculé de substances épaisses et gluantes, tirées en filaments par la peau du prépuce. En même temps, une forte odeur, rappelant un fromage fermenté, me vint aux narines.

Il se leva et s'approcha de moi, me présentant son sexe. J'avançais mon buste, penchais ma tête en avant. Le type se rapprocha encore pour me mettre son membre dans la bouche. Immédiatement, un frisson de dégoût me parcoura toute entière. En même temps, mon excitation était à son comble. C'est cette première impression qui m'excite toujours le plus. Son sexe fin, au goût âcre, lâchait un liquide séminale presque en continu.

Le vicelard se décalotta à nouveau dans ma bouche. Je pouvais sentir, sous ma langue, la saveur grumeleuse du "fromage" que j'avais pû apercevoir autour de son gland. J'étais à la fois écoeurée et terriblement excitée. Avec ma langue, tout en suçant, je fouillais tous les plis du prépuce. Je ne voulais pas en perdre la moindre particule. La "fermentation" devait avoir quelques jours car c'était réellement dégueulasse.

Je me retirais afin de reprendre mon souffle. J'avais déjà, en dix minutes, dégluti tant de substances, qu'il me fallait prendre quelques bouffées d'air. L'odeur de son sexe était dégoûtante. Le type me le passa sur le visage en me le frottant partout sur la face. Je regardais autour de nous. Il n'y avait personne. L'inconnu me fit : < T'inquiètes pas, je surveille ! >.

Me saisissant par la nuque et le menton, le type m'enfonça à nouveau son sexe dans la bouche. Durant toute cette fellation, l'inconnu resta parfaitement immobile. Ses couilles semblaient fabriquer du foutre à la vitesse où je l'avalais. Cela n'en finissait pas. Il s'était nettoyé le sexe dans ma bouche et, maintenant, il éjacula, toujours sans bouger. Il maintenait ma tête. Je déglutissais ce liquide épais avec peine.

Lorsque tout fut terminé, il me lâcha. < Tu aimes ça, hein ? > me fit-il en se mettant à pisser juste à côté du banc. J'essayais, avec peine, d'avaler les dernières traînées épaisses et gluantes en regardant le type pisser, sans gêne, à cinquante centimètres de mon visage. La peau de mon visage, à cause du foutre qui avait sêché et de la chaleur, me tirait.

Soudain, à peine après avoir terminé, il me saisit à nouveau par la tresse et m'enfonça son sexe pisseux dans la bouche. Cette nouvelle surprise me dégoûta. Par reflexe, comme il me maintenait fortement la tête, je me mis à sucer à nouveau. Le vicelard n'avait pas fini de pisser car il se termina dans ma bouche. Pomper de la pisse avec des restes de foutre contribua à me dégoûter et à m'exciter en même temps. A un point vertigineux.

Le type se mit à bouger rapidement son bassin. Il se masturbait dans ma bouche. Au bout de quelques minutes, il éjacula une nouvelle fois. Ecoeurée, dégoûtée, à la limite du vomissement, je tentais d'avaler ces nouvelles giclées. Elle me semblaient encore plus abondantes que la fois précédente. Le type me tenait par la tresse. Je n'avais pas d'autres choix que de déglutir péniblement.

Enfin, il me lâcha. Rangeant son sexe, il me fit : < Ca te dirais de refaire encore ? >. Je me levais. Je ramassais mon livre tombé à terre et me dépêchais de quitter les lieux sans répondre. Arrivée à l'extérieur des bosquets, je me retournais. L'inconnu mimait une pipe avec sa main devant la bouche. Il me fit : < Lundi prochain ? >. Je lui lançais un dernier sourire avant de me sauver en marchant vite.

Je n'avais pas de chewing-gum sur moi, aussi, je devais supporter le goût dégueulasse du type une bonne partie de l'après-midi. Arrivée chez moi, durant toute la durée de ma masturbation, j'en gardais le goût en bouche. Des tâches curieuses sur le haut de mon chemisier...

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Je retourne au parc

 

Je reviens au parc

Ce que j'avais vécu jeudi dernier, au parc, m'était resté en mémoire tout le week-end. Curieusement, comme à chaque fois, ou presque, je gardais les impressions de ces moments particuliers de façon très prégnante. Aussi, dès le samedi soir, durant le repas familial où je m'ennuyais à écouter les histoires de mon oncle, je pris la décision de retourner au parc lundi après-midi. Durant ma promenade à cheval, le dimanche après-midi, je me plaisais à me remémorer, encore et encore, les souvenirs du jeudi, anticipant ce qui allait sans doute se passer le lendemain.

Le lundi arriva enfin. J'étais libre comme l'air puisque mon année d'étude faisait place aux vacances. De plus, ce début de mois de juin était radieux, ensoleillé, chaud et lumineux. Dès le matin , j'étais fébrile et impatiente de voir défiler les heures. Le repas de midi, avec mes parents, fut très plaisant. Mon père me demanda pourquoi je mangeais si vite. Je ne savais quoi répondre et me contentais de sourire. A la fin du repas, après être passée à la salle de bain, je montais dans ma chambre pour me changer.

Je mis une robe légère. Une des deux robes que j'aimais à porter en été. Celle-ci était beige, d'un lin léger, serrée à la taille par une ceinture de lin également. Arrivant aux genoux, ample, elle permet d'être parfaitement à l'aise. Dessous, je mettais un soutien gorge beige. Mes seins, petits et menus n'en éxigent point, mais j'aime le contact du soutien gorge. Je le porte en presque toutes circonstances. Je mettais ma culotte blanche "porte-bonheur". Celle que je porte curieusement, par le plus grand des hasards, à chaque fois que je vis une de mes "aventures" particulières. Là, je voulais forcer la "chance".

Je pris ma bicyclette pour descendre la piste cyclable qui longe le vieux canal. Par là, je pouvais arriver au parc en évitant la ville et les dangers de la circulation. J'arrivais enfin au parc pour quatorze heure trente. Je poussais mon vélo dans l'allée centrale. Il y avait quelques mamans jouant avec leurs enfants. Il y avait quelques couples de personnes âgées assis sur les bancs. Je tournais dans la petite allée qui menait à ma "cachette". Là, après deux cent mètres à marcher dans l'ombre des grands platanes, j'arrivais dans mon coin isolé.

Il n'y avait personne. Je posais ma bicyclette sur sa béquille à côté de mon banc. Assise, je fis semblant de lire, curieuse de voir comment les choses allaient arriver. Je restais ainsi une bonne demi heure. Il ne se passait rien. Je pouvais entendre les cris des enfants et, parfois, les paroles échangées par des promeneurs qui passaient derrière les bosquets voisins. Je serrais mes cuisses posée l'une sur l'autre, régulièrement dans un mouvement masturbatoire. Une chose que j'apprécie de pratiquer souvent lorsque je suis excitée ou "curieuse".

Au bout d'un nouveau quart d'heure, je me levais. J'allais dans les fourrés, posant mon livre à mes côtés. Là, accroupie, la culotte aux genoux que je maintenais tirée vers le haut, les cuisses écartées, je me mis à pisser. Lorsque je suis dans de telles situations, je pisse par petits jets. Entre chacun d'eux, je laisse passer un moment que j'essaie de faire durer. Cela m'excite considérablement. Je pourrais être vue et, c'est parfois si agréable, qu'avec ma main libre, je me touche.

Soudain, là, devant moi, se trouvait le type de jeudi. Je ne l'avais pas entendu venir. < J'arrive au bon moment ! > fit-il en secouant son sexe dans ma direction. Il se tenait debout à environ trois mètres. < Bonjour, ça fait une demi-heure que je suis planqué et que je te regarde ! > me lança t-il avec son accent. < Bonjour > lui fis-je en me relevant rapidement et en me réajustant. < J'aime les chattes poilues et la tienne est belle ! > me fit-il encore en descendant son pantalon et en se couchant au sol. Là, allongé sur le côté, secouant son sexe toujours dans ma direction, il m'invita à venir m'assoir.

Je restais là, debout, un peu stupide. J'avais rêvé d'une situation vicieuse tout le week-end. Voilà que cette situation se présentait, là, rien que pour moi. Au bout d'une petite minute, je m'asseyais sur mon livre à un bon mètre de l'inconnu. < Montre-moi encore ta chatte ! > me demanda t-il vulgairement. Après un instant d'hésitation, j'écartais mes cuisses et tirais ma culotte afin de lui montrer mon sexe. Il resta à regarder quelques minutes, puis me lança : < Tu aimes te faire bouffer la chatte ? >. Cela ne m'était encore jamais arrivé. Je le lui fis savoir. A son invitation, en repoussant sa main, je lui répondis que je ne voulais pas maintenant. < Tu préfères tailler des pipes hein ? > me fit-il en mimant la chose avec sa main devant sa bouche.

J'étais venue pour "ça". Aussi, à son invitation de lui faire une pipe, je répondais par un simple < Oui >. Toujours couché sur le côté, il me fit signe de me rapprocher avec son l'index en disant : < Viens >. Je m'approchais. Je regardais son sexe, ses cuisses poilues, ses couilles fripées. Un frisson de dégoût me secoua toute entière. Le type m'attrapa par les cheveux que j'avais laissé libres. Je glissais complètement au sol, sur l'épaule, le visage maintenu à la hauteur de son sexe. L'odeur était pire que la dernière fois. Répugnante et pourtant tellement excitante.

Il me passa son sexe sur tout le visage, dans les cheveux. Assez brutalement, il m'enfonça son membre dans la bouche. Il commenca à bouger régulièrement son bassin, se masturbant dans ma bouche. Un nouvelle fois, il essaya de glisser sa main entre mes cuisses. Je le repoussais avec force. Avec peine je détournais la tête le temps de dire < Non >, fermement. < Tu préfères me vider les couilles, hein, petite salope ? > me fit-il en maintenant fermement ma tête contre son bassin. A plusieurs reprises, il retira son sexe de ma bouche pour me le frotter sur le visage. Ce type était un vrai salopard. Je suis une devenue une "habituée" de ce genre de mec, mais là, c'était limite.

La situation perdurait ainsi depuis un bon quart d'heure. J'étais en larmes et pourtant cela m'excitait comme jamais. Soudain, le type éjacula, me crachant plusieurs jets au fond de la gorge. Il continuait à me maintenir fermement. J'avais toutes les peines du monde à déglutir. Je m'étouffais, je toussais. Enfin, il relâcha son étreinte. < T'es une super vide-couilles ! > me fit-il avant de me pisser au visage qu'il maintenait toujours par les cheveux.

Surprise, je me retrouvais trempée de pisse. Je ne m'y attendais pas du tout. Il allait me falloir rentrer mouillée, à la maison ! J'avais les cheveux qui dégoulinaient dans la nuque. De la pisse chaude et qui commençait à coller avec la chaleur. Je m'étais redressée, prête à m'enfuir car j'en avais vraiment "bavé". J'avais la robe trempée et sale sur tout le côté droit. Il me rattrapa par le bras en me disant : < Attends, j'en ai encore dans les couilles ! >. Il acheva de pisser sur le bas de ma robe. Posant sa main sur ma tête, il me força à m'accroupir. Je tombais à genoux sur le sol.

Il enfonça une nouvelle fois son sexe dans ma bouche. Considérablement excitée, dans un mélange d'écoeurements et de dégoûts, je me mis à sucer. Du liquide chaud comme une tisane coulait au fond de ma gorge. Rapidement, au bout de quelques minutes, le type éjacula une nouvelle fois. J'avalais, comme hallucinée. Je me redressais, je me relevais, je n'en pouvais plus. Je me mis à vomir sur les chaussures du mec. < Espèce de salope, tu me dégueules dessus, je vais te le faire bouffer ! >.

Il avait le pantalon aux chevilles. J'en profitais pour m'enfuir, sauter sur mon vélo et pédaler comme une folle jusqu'à la sortie du parc. Manquant de justesse de renverser deux ou trois personnes au passage. Je rentrais chez moi dans un état second. Rapidement, pour ne pas être surprise par ma soeur ou ma mère, je m'enfermais dans la salle de bain. Je me regardais dans le miroir. J'avais les cheveux mouillés. De la terre collée par la pisse sêchée, jusque sur la nuque. Ma robe certainement irrécupérable. Je me découvrais, ce jour-là, un minois de vraie salope.

Plus tard, couchée sur mon lit, me masturbant devant l'armoire à glace, je pris conscience que le plaisir de la soumission, qui m'envahissait de plus en plus, pour mes dix neuf ans, serait une composante naturelle de ma sexualité.
Il y aurait même bientôt un désir d'être humiliée...

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L'inconnu de l'immeuble



Il était dix sept heure, j'étais dans l'ascenseur qui me ramenait au rez-de-chaussée de l'immeuble où mon amie louait un studio. Nous étions toutes les deux au début de notre seconde année de faculté. Je passais quelques fois chez elle pour lui apporter les cours qu'elle avait manqué. Travaillant pour payer ses études, il lui était souvent difficile de concilier son emploi et les horaires de cours. Je me faisais donc un devoir de l'aider un peu.

Son studio, situé au septième étage d'un immeuble résidentiel, offrait une vue magnifique sur la ville et sur la campagne environnante. J'étais donc à descendre dans l'ascenseur lorsque celui-ci s'arrêta au quatrième étage. La double porte s'ouvrit pour laisser entrer un homme de petite taille, vêtu de façon très élégante. Nous étions au début du mois de novembre, le port du manteau s'imposait pour se prémunir du froid. Le quidam en portait un noir, épais et très propre. Sans doute quinquagénaire et certainement en surpoids.

< Bonjour > me fit l'inconnu en pénétrant dans l'espace étroit de l'ascenseur. < Bonjour > lui fis-je avec un sourire. < Vous descendez au sous-sol ? > me demanda l'homme. < Non, non, je m'arrête au rez-de-chaussée > répondis-je. Il appuya sur le bouton "Sous-Sol". L'ascenseur s'arrêta au rez-de-chaussée, je m'apprêtais à quitter la cabine, lorsque l'homme me demanda : < Vous êtes de la région, vous connaissez un peu le quartier ? >. Je regardais dans sa direction pour m'apercevoir qu'il avait son sexe qui dépassait de la braguette.

< Non, je ne suis pas du coin ! Je ne peux pas vous renseigner ! > fis-je en quittant rapidement l'ascenseur. < Au revoir, mademoiselle, je descends au sous-sol, bonne fin d'après-midi. > me fit-il en secouant son sexe dans ma direction. < Au revoir !> répondis-je en tournant rapidement les talons. Arrivée dehors, devant l'immeuble, marchant sur l'étroit chemin qui menait à la rue, machinalement, je regardais vers le descente de la cave. J'essayais d'imaginer la psychologie d'un type qui descendait dans une cave avec son sexe à la main. Surtout après l'avoir montré à une jeune fille. J'avais dix neuf ans...

Arrivée sur le trottoir de la rue, je m'arrêtais. Un intérêt et une légère excitation commençaient à s'éveiller en moi. Je passais rapidement les évènements vécus dans ma mémoire. Ce type était descendu à la cave. Sa façon de me préciser qu'il y descendait n'était, en fait, qu'une sorte "d'invitation" à l'y rejoindre. Après un instant d'hésitation, ayant un peu de temps avant de me rendre à la gare toute proche, je decidais de retourner dans l'immeuble. L'ascenseur arriva sur mon appel, montant du sous-sol, ses portes s'ouvrirent. J'y entrais et j'appuyais sur "Sous-Sol"...

L'ascenseur s'arrêta et ses portes s'ouvrirent. J'étais dans un sous-sol propre, bien éclairé, silencieux. Les murs, fait de parpaings de béton, étaient aussi gris que le ciment du sol. Devant moi, il y avait un couloir. Sur les côtés, nombre de portes en bois qui devaient êtres les entrées des caves individuelles. Soudain, sur la droite, d'une porte en fer, l'homme de l'ascenseur apparut : < Eh bien, vous vous êtes trompée de bouton dans l'ascenseur ? > me demanda t-il en riant. Il agitait son sexe dans ma direction. Je restais là un peu stupide, ne sachant que répondre.

< Là, c'est le local poubelles, je viens régulièrement y jeter des trucs dont je n'ai pas besoin. Vous voulez voir ? > me fit-il encore en m'invitant, d'un geste de la main, à le suivre. Je m'approchais de la porte en fer ouverte. Je regardais à l'intérieur d'une petite pièce dans laquelle étaient disposées plusieurs grandes poubelles grises. L'inconnu se plaça entre deux de ces poubelles et descendit son pantalon. < Je vous donne cinquante euros pour une pipe. Ca vous dit ? > me fit-il encore. J'étais consternée par l'aplomb et le culot de l'individu. Après un instant de silence, vexée, je répondis : < Je ne suis pas une pute, je suis étudiante et je viens dans cet immeuble pour voir une copine. Vous vous trompez de personne ! >.

Le type se masturbait dans le silence. J'observais la scène avec curiosité. Je m'apprêtais à quitter les lieux, lorsqu'il me lança : < Vraiment, j'aimerais bien me faire sucer. Ca ne vous tente pas un peu ? >. Je regardais cet individu, assez minable, son manteau ouvert, son pantalon sur les chevilles. L'homme me semblait pitoyable et me faisait presque pitié. < Vous n'avez pas une femme pour vous faire ça ? > lui demandais-je naïvement. < Elle ne fait pas ! > me répondit-il, cambré sur ses jambes, le dos contre le mur en se masturbant énergiquement.

Excitée par la situation. Une fois encore, attirée par cette opportunité vicieuse, je me laissais aller à mon instinct. Je posais mon cartable sur le sol, devant le type. Je m'approchais pour m'accroupir devant lui. Son sexe était propre et n'avait aucune odeur. Mon visage à une trentaine de centimètres de son membre, je le scrutais avec attention. Reniflant, tentant d'en savoir plus, je m'approchais encore davantage. A l'extrêmité de son membre, perlait une goutte de liquide. Cette goutte ne tarda pas à tomber au sol après avoir coulé le long de la grosse veine.

L'inconnu, se cambrant encore un peu plus, approcha son sexe de mon visage. Je m'approchais pour le prendre en bouche. Les yeux fermés, soudain secouée de frissons, à la fois excitée et dégoûtée, je suçais une nouvelle fois. Curieusement, le goût de ce nouveau sexe m'enivra rapidement. Chaque sexe d'homme a un goût différent. Mon attirance pour la fellation m'en a fait goûter de nombreux spécimens. Celui-ci me laisse, encore aujourd'hui, un souvenir particulier. C'était le sperme d'un non-fumeur. Et il y a une différence notable, il faut le préciser. Je déteste la fumée !

Le liquide séminal arrivait en grande quantité dans un flot presque continu sous l'effet de ma suçion. Je tombais à genoux sur mon cartable. Je me régalais de cette substance. Chaque fellation me passionne davantage. Là, je savourais à la fois le liquide et la situation. C'est comme si, située à l'extérieur de mon corps, je m'observais. J'étais là, à genoux, entrain de pomper. Cela m'excitait au point que je sentais mon sexe devenir chaud. Je n'avais encore jamais été pénétrée par un homme. Là, pour la première fois, cela m'en donnait l'envie folle.

Je n'eu pas le temps de méditer davantage sur l'éventualité de faire l'amour, l'inconnu éjacula en trois saccades. J'ai toujours beaucoup de peine à déglutir la quantité de sperme que lâchent les hommes que je suce. Cela semble toujours ne plus finir. Là encore, le flot semblait intarissable. J'avalais avec peine. J'ai une préférence pour le liquide séminal plutôt que pour le sperme. Aussi, l'éjaculation me laisse toujours une sorte d'amertume en bouche. Encore présente quelques heures après.

L'inconnu se vida longuement. Toujours désireuse de ne pas en perdre la moindre goutte, je pompais avec force. L'homme, doucement, avec tendresse, me repoussa en soufflant fortement. Il remonta son pantalon pendant que je me relevais. Je m'essuyais le menton et la bouche avec un mouchoir en papier. < C'était vraiment superbe, mademoiselle. Savez-vous que cela ne m'était plus arrivé depuis plus de quinze ans ? > me fit-il en me déposant une bise sur le front. < Merci monsieur. C'était super pour moi aussi ! > répondis-je, plutôt amusée. < Cela vous tente de vous arrêtez au quatrième étage, chez moi, lors de votre prochaine visite ? > me fit-il encore en me tendant sa carte de visite.

En sortant du local poubelles, je me tournais vers l'homme pour lui dire : < Je passe chez mon amie, mardi prochain. >. < Superbe ! Venez boire le café alors, d'accord ? > me fit-il, la voix pleine de désir. < Peut-être bien, j'aime aussi le café ! > lui fis-je avant d'appuyer sur le bouton d'appel de l'ascenseur. Celui-ci arriva rapidement, sans doute stationné au rez-de-chaussée. L'homme y entra avec moi et me fit : < Je m'appelle André, je vous souhaite une bonne soirée. >. < Enchantée, moi c'est Isabelle. > fis-je avant de partir. Je suis toujours préssée de me retrouver seule après mes fellations "sauvages".

Je quittais l'immeuble, un peu émue par mon aventure. Je prenais un chewing-gum et, juste avant de la porter à la bouche je le remballais. je voulais garder le goût du sperme jusqu'au repas du soir...

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L'inconnu de l'immeuble (Episode 2)

Visite chez l'inconnu de l'immeuble.

Une fois de plus, presque tout le week-end, le souvenir de l'inconnu de l'immeuble me venait souvent à l'esprit. Dans mes souvenirs, je ne pouvais m'empêcher de procéder à des comparaisons. Comparant toutes ces opportunités où je m'étais déjà retrouvée dans des situations très particulières avec des types parfaitement inconnus. Des types dont, pour la plupart d'entre eux, j'aurais pû être la fille. J'ai toujours été attirée par les hommes d'âge mûr. Mes expériences confortent mes certitudes.

Ce lundi après-midi, vers treize quarante cinq, avant de me rendre en cours, je téléphonais à André, l'inconnu de l'immeuble. Prête à prétendre que je m'étais trompée de numéro au cas où il y aurait une voix féminine à l'autre bout du fil, j'attendais la fin des sonneries. Quelqu'un décrocha enfin. Je pouvais reconnaître la voix de l'inconnu. < Bonjour. Je passe demain après-midi, mardi, pour quinze heure, ça va pour vous ? >. Il y eut un silence de quelques secondes, puis j'entendis André me répondre : < Bonjour ! C'est magnifique, je vous attends pour quinze heure. >. < A demain donc, au revoir ! > fis-je avant de raccrocher.

Le mardi après-midi arriva enfin. J'arrivais avec le train. La gare était distante de ma destination d'environ cinq cent mètres. Dix minutes de marche rapide. Pour l'occasion, je m'étais vêtue d'un pantalon noir à pinces, d'un pull à coll roulé, de mon manteau. Chaussée de souliers fermés à talons hauts, j'aimais me sentir féminine pour mes "expéditions" vicieuse. J'arrivais au quatrième étage. Je sonnais chez André. L'homme vint m'ouvrir pour m'inviter à entrer dans son appartement. < Bonjour Isabelle. Je suis très charmé par votre visite. Venez, débarrassez-vous de votre manteau. >. Je quittais mon manteau et m'installais sur le canapé. Je me sentais bien à l'aise.

L'intérieur de l'appartement était très sobre, propre. Les meubles très classiques et un parquet de chêne ciré achevaient de rendre les lieux très accueillants. Aux murs étaient accrochés des reproductions de tableaux de maîtres Hollandais du XVII ème. Pas de doute, André avait un certain sens de la décoration. Par la baie vitrée du balcon, je pouvais voir les collines qui masquaient l'horizon. Plusieurs plantes vertes, aux grandes feuilles vertes, achevaient de donner un cachet à cet intérieur très bien tenu. André vint me rejoindre avec un plateau sur lequel il y avait de petites tasses, une cafetière fumante, du sucre et des petits gateaux.

Nous nous mîmes à bavarder. André semblait très curieux et très intéressé par mes études. Il me posait des questions précises sur le choix de la profession à laquelle je me déstinais. Il était en congé pour cause de santé. Cadre d'une entreprise, il me parla un peu de ses fonctions de directeur financier. Au bout d'une demi-heure, l'homme évoqua ce qui s'était passé entre nous, dans la cave de l'immeuble, la semaine précédente. Il semblait à la fois gêné et excité d'en parler. Je le rassurais en lui apprenant que j'avais passé un bon moment et que j'aimais beaucoup faire "ça".

Cette affirmation éveilla sans doute la libido de l'homme. S'installant confortablement sur le canapé, écartant ses jambes, il me fit : < Aimeriez-vous vivre une expérience nouvelle dans le cadre de ce que vous appréciez ? >. Il posa sa main sur sa braguette. < Je suis une fille assez curieuse. Expliquez-moi ! > fis-je en fixant volontairement sa main qui bougeait doucement. < Voilà, je vous propose de tenter la "soumission". Vous auriez les mains attachées derrière le dos. Les chevilles entravées par une corde. Je me charge du "reste" ! > me fit-il en chuchotant presque.

Je restais un long moment silencieuse. La proposition m'excitait considérablement. J'avais envie de me toucher en réfléchissant. Finalement, je m'entendis répondre : < Oui. Cela pourrait être une expérience intéressante. Je n'ai jamais fait "ça" dans une telle situation. >. < Venez, levez-vous, installez-vous sur la chaise, là, au milieu de la pièce. > me fit-il en se levant pour m'attendre devant la chaise. Je me levais. M'asseyant, je vis que l'homme avait ouvert un tiroir du buffet. Il en sortit quelques grosses cordes blanches. Je fus soudain envahie d'une crainte. Dans quelle situation allais-je encore me fourrer...

André me fit asseoir a l'envers, avec le dossier devant moi. Forcée d'écarter mes jambes. Il se saisit de mes bras qu'il passa derrière mon dos. Il m'attacha solidement mais sans serrer mes poignets. Il fit de même avec mes chevilles. Il attacha chacune d'elle à un pied de la chaise. Se saisissant de mes cheveux tressés, il les attacha à mes poignets. Il termina ce ficellage en attachant mes poignets aux deux autres pieds de la chaise. J'étais envahie d'une certaine peur mêlée d'excitation. Il s'assit devant moi, sur le canapé et me regarda longuement. J'étais terriblement gênée. Je me sentais vulnérable, humiliée, honteuse mais terriblement excitée. Je gardais les yeux baissés. Je ne pouvais pas incliner la tête vers l'avant à cause de la corde.

Au bout d'une bonne dizaine de minutes, il s'approcha de moi. Me saisissant par la tresse, il me forca à le fixer dans les yeux. Il resta ainsi quelques nouvelles minutes à m'observer en silence. Je m'efforçais de soutenir son regard. Soudain, se penchant vers moi, il me cracha au visage. Cet acte me vexa quelque peu. < Salopard ! > lui fis-je. Je sentais sa salive me couler sur les joues. Il recommenca à plusieurs reprises. Il retourna s'assoir sur le canapé pour m'observer. Fièrement, je soutenais son regard, dégoulinante de salive qu'il m'était impossible d'essuyer.

Il revint se poster devant moi. Ouvrant sa braguette, il sortit son sexe. Le pointant vers moi, il le passa longuement sur mon visage. Il me maintenait par la tresse. Il s'éloigna à faible distance. Restant là, debout devant moi, pointant son sexe dans ma direction, il m'observait avec attention. Cette situation dura quelques nouvelles minutes. Soudain, un jet de pisse vint se briser sur mon visage. Un jet vif et bref. André récidiva plusieurs fois. J'avais les cheveux, le visage et le haut de mon pull trempés. < Salopard ! > lui fis-je une nouvelle fois.

L'homme s'approcha. Me saisissant avec une certaine brusquerie par le menton, il m'enfonça son sexe dans la bouche. De son autre main, il me maintenait par la nuque. Il manqua de m'étouffer en m'enfonçant la totalité de son membre. Je n'avais pas prévu cette éventualité, je manquais d'air. Je suffoquais en gémissant. Il me relâcha. Je me dégageais pour reprendre mon souffle. Il lâcha à nouveau deux jets de pisse sur mon visage. Cette fois-ci, vigilante, devinant ce que ce type allait me faire, je respirais plusieurs fois, remplissant mes poumons d'air.

Il me repris par la tresse. Me forçant à ouvrir la bouche, il m'enfonça à nouveau son membre jusqu'à la gorge. Je pouvais sentir ses couilles balloter sur mon menton trempé. Il imprimait à son bassin un mouvement masturbatoire. Je suçais. J'étais une fois encore entre le dégoût et l'excitation. Il cessa de bouger pour m'éjaculer au fond de la gorge. Il me maintenait toujours par la nuque et le menton. Il se mit à pisser. Je n'en pouvais plus. Je sentais de la pisse me sortir par les narines. Avec un effort désespéré je me retirais de son étreinte pour vomir à côté de la chaise. André, me saisissant par la tresse me mit une gifle avant de m'essuyer avec un mouchoir en papier.

Il alla s'asseoir sur le canapé pour m'observer à nouveau longuement. Je me sentais presque ridicule. J'avais envie de me lever de partir. < Quelles sont vos impressions, Isabelle ? Désirez-vous cessez ou continuer ? Aimeriez-vous vous faire baiser ? > me demanda André. L'homme ne savait pas que je n'avais jamais été pénétrée. Aussi, je me gardais bien de le lui dire. Je me contentais de répondre : < J'aimerais cesser s'il vous plaît ! > . Il se leva et vint me détacher. Il me proposa de prendre une douche et de me prêter des vêtements secs. Je préférais me sêcher avec un sêche-cheveux et filer au plus vite. Il me mit sa salle de bain et les accessoires à disposition.

Lorsque je sortais de la salle de bain, André, assis sur le canapé me proposa un café. < Je vais être obligée de vous quitter, André, il me faut monter chez mon amie pour lui porter des cours. > lui fis-je. < Si vous désirez revivre une nouvelle scéance, téléphonez-moi, je suis encore libre mardi prochain. > me répondit-il en me raccompagnant jusque devant l'ascenseur. Là, juste avant que les portes ne se referment, en plein couloir, il sortit son sexe en disant : < Dis au revoir à Isabelle, elle revient sans doute bientôt ! >. Soulagée, je vis les portes se refermer...

Sonnant chez mon amie, au septième étage, je lui remettais les documents sur le pas de la porte, sans entrer. Je prétextais de devoir partir immédiatement. Comme toujours, après une fellation "sauvage", il me faut me retrouver seule et reprendre mes esprits. Et, cette fois-ci, cette fellation était vraiment sauvage. J'avais ce goût dans la bouche et je le garderais jusqu'au repas du soir. Les soirées suivantes furent le théatre de nombreuses et longues masturbations. Cette première expérience de soumission volontaire m'avait enchantée au-delà du raisonnable. Dès le week-end, je n'avais qu'un désir, me retrouver dans cette situation.
Renouveller l'expérience...

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